Agboville – Ce sont 2497 migrants de retour qui ont été accueillis de 2015 à ce jour par le Centre d’Accueil, d’Information, , d’Orientation et d’Accompagnement des Migrants-Côte d’Ivoire (CAIOAM-CI), sous tutelle du ministère de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, y compris la dernière vague de 1524 personnes rapatriées de Libye, selon la directrice de ladite structure, Cynthia Ekra.
Ce retour a été rendu possible grâce à l’action conjuguée du gouvernement ivoirien et de l’organisation internationale pour les migrations (OIM), a indiqué jeudi, Mlle Ekra, à l'issue de la séance de sensibilisation et d'information relative aux risques de la migration clandestine.
La plupart de ces migrants clandestins provenaient des pays du Maghreb, notamment du Maroc de la Tunisie, puis de l’Arabie Saoudite, et d’Israël où les pèlerins ont choisi parfois la voie de la clandestinité pour y rester.
Il est tout aussi curieux de constater que beaucoup d’ivoiriens migrants ont été rapatriés du Gabon et parfois de Cuba, au dire de Mlle Ekra Cynthia.
Face à ce constat tout à fait surprenant et l’ampleur du phénomène de migration irrégulière en Côte d’Ivoire, les participants à la session de sensibilisation d’Agboville, ont souhaité vivement une accélération de la procédure de décentralisation du centre d’Accueil et d’information dans les villes de l’intérieur.
Toute chose qui devrait se concrétiser sous peu, selon la directrice du CAIOAM-CI, avec l’engagement pris à cet effet par l’Union Européenne (UE). De sorte que cette structure se rapproche des populations.
yy/fmo
Ce retour a été rendu possible grâce à l’action conjuguée du gouvernement ivoirien et de l’organisation internationale pour les migrations (OIM), a indiqué jeudi, Mlle Ekra, à l'issue de la séance de sensibilisation et d'information relative aux risques de la migration clandestine.
La plupart de ces migrants clandestins provenaient des pays du Maghreb, notamment du Maroc de la Tunisie, puis de l’Arabie Saoudite, et d’Israël où les pèlerins ont choisi parfois la voie de la clandestinité pour y rester.
Il est tout aussi curieux de constater que beaucoup d’ivoiriens migrants ont été rapatriés du Gabon et parfois de Cuba, au dire de Mlle Ekra Cynthia.
Face à ce constat tout à fait surprenant et l’ampleur du phénomène de migration irrégulière en Côte d’Ivoire, les participants à la session de sensibilisation d’Agboville, ont souhaité vivement une accélération de la procédure de décentralisation du centre d’Accueil et d’information dans les villes de l’intérieur.
Toute chose qui devrait se concrétiser sous peu, selon la directrice du CAIOAM-CI, avec l’engagement pris à cet effet par l’Union Européenne (UE). De sorte que cette structure se rapproche des populations.
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