Les exportateurs de cajou de Côte d’Ivoire en collaboration avec l’ensemble des acteurs (producteurs, industriels…) de la filière de l’anacarde venus du Vietnam, de l’inde, de la Hollande , du Ghana, Bénin, du Nigeria, de la Guinée Conakry, de la Guinée Bissau et du Togo se sont réunis pour une seconde fois à l’occasion de la deuxième édition des journées nationales des exportateurs de cajou de Côte d’Ivoire (Jnec-ci) qui se tiennent du 22 au 23 février à Abidjan.
Deux jours durant, ils ont porté des réflexions autour du thème « Création de synergie pour le développement de la filière cajou», il s’agissait pour l’Association des exportateurs de cajou de Côte d’Ivoire (Aec-ci) de constituer une plateforme d’échanges entre acteurs au plan national et international et ce, dans l’optique de relever les défis du secteur et améliorer la qualité du cajou. Et à l’ouverture de l’évènement, le vendredi 24 février, Diaby Aboubacar, commissaire général de ce symposium, par ailleurs, président de l’Aec-ci, a rappelé les bonnes performances de la filière cajou ivoirienne avec une croissance moyenne annuelle de plus de 13%. Des performances qui ont permis une production qui a doublé pour se stabiliser autour de 700 000 tonnes de noix de cajou. Et une augmentation substantielle du chiffre d’affaires du secteur passé de 165 milliards de fcfa en 2013 à 441 milliards de F cfa en 2016. « Tous ces chiffres sont le résultat des réformes mises en œuvre depuis 2013 », a indiqué Diaby Aboubacar.
Comme annoncé à l’issue du symposium passé, le projet de construction d’une école primaire dans une zone de production du cajou est pratiquement terminé. " cette école primaire ouvrira ses portes dès la rentrée prochaine 2018" a-t-il rassuré. Quant à Coulibaly Adama, Dg de la filière coton anacarde, représentant le premier ministre, il estime qu’à travers ce symposium, les exportateurs de cajou donnent une lisibilité à la filière et à la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, s’appuyant sur les résultats de la réforme du secteur il a indiqué que « le cajou ivoirien va bien.» D’autant que « la filière est dans une dynamique de professionnalisation ». Pour lui, il faut donner les moyens aux acteurs pour que le cajou connaisse une valeur ajoutée avec l’augmentation du taux de transformation qui devrait passer d’environ 10% actuellement à 100% en 2020. Il faut selon lui que les exportateurs d’aujourd’hui soient les transformateurs de demain.
CK
Deux jours durant, ils ont porté des réflexions autour du thème « Création de synergie pour le développement de la filière cajou», il s’agissait pour l’Association des exportateurs de cajou de Côte d’Ivoire (Aec-ci) de constituer une plateforme d’échanges entre acteurs au plan national et international et ce, dans l’optique de relever les défis du secteur et améliorer la qualité du cajou. Et à l’ouverture de l’évènement, le vendredi 24 février, Diaby Aboubacar, commissaire général de ce symposium, par ailleurs, président de l’Aec-ci, a rappelé les bonnes performances de la filière cajou ivoirienne avec une croissance moyenne annuelle de plus de 13%. Des performances qui ont permis une production qui a doublé pour se stabiliser autour de 700 000 tonnes de noix de cajou. Et une augmentation substantielle du chiffre d’affaires du secteur passé de 165 milliards de fcfa en 2013 à 441 milliards de F cfa en 2016. « Tous ces chiffres sont le résultat des réformes mises en œuvre depuis 2013 », a indiqué Diaby Aboubacar.
Comme annoncé à l’issue du symposium passé, le projet de construction d’une école primaire dans une zone de production du cajou est pratiquement terminé. " cette école primaire ouvrira ses portes dès la rentrée prochaine 2018" a-t-il rassuré. Quant à Coulibaly Adama, Dg de la filière coton anacarde, représentant le premier ministre, il estime qu’à travers ce symposium, les exportateurs de cajou donnent une lisibilité à la filière et à la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, s’appuyant sur les résultats de la réforme du secteur il a indiqué que « le cajou ivoirien va bien.» D’autant que « la filière est dans une dynamique de professionnalisation ». Pour lui, il faut donner les moyens aux acteurs pour que le cajou connaisse une valeur ajoutée avec l’augmentation du taux de transformation qui devrait passer d’environ 10% actuellement à 100% en 2020. Il faut selon lui que les exportateurs d’aujourd’hui soient les transformateurs de demain.
CK