Vitres soufflées, blocs de béton arrachés, bâtiments calcinés : l’état-major général des armées du Burkina Faso à Ouagadougou, considéré pourtant comme une place quasiment intouchable au coeur de la capitale, n’offrait que des scènes de désolation au lendemain de l’attaque d’un commando djihadiste.
Une scène "apocalyptique", selon les mots du Premier ministre burkinabè, Paul Kaba Thiéba.
La double attaque menée vendredi contre l’état-major et l’ambassade de France à Ouagadougou a fait 8 morts et plus de 80 blessés parmi les militaires, selon un bilan de source sécuritaire. Elle a été revendiquée samedi par le Groupe pour le soutien de l’islam et des musulmans (GSIM). Huit
assaillants ont été tués, selon la même source. suite de l'article sur aOuaga.com
Une scène "apocalyptique", selon les mots du Premier ministre burkinabè, Paul Kaba Thiéba.
La double attaque menée vendredi contre l’état-major et l’ambassade de France à Ouagadougou a fait 8 morts et plus de 80 blessés parmi les militaires, selon un bilan de source sécuritaire. Elle a été revendiquée samedi par le Groupe pour le soutien de l’islam et des musulmans (GSIM). Huit
assaillants ont été tués, selon la même source. suite de l'article sur aOuaga.com