Abidjan - Une délégation de la Commission nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), conduite par sa présidente, Namizata Sangaré, a effectué une mission de sensibilisation sur le respect des droits de l’homme dans les localités de Guiglo et de Bloléquin du jeudi 1er au 3 mars.
Selon une note de la Commission dont copie a été transmise vendredi, à l’AIP, cette mission, consécutive aux violents évènements survenus en novembre 2017 à Guiglo et en février à Bloléquin, visait à amener les populations à ne pas fouler aux pieds les droits de l’Homme.
« Cette tournée avait pour but de sensibiliser les populations des localités de Guiglo et Blolequin sur le respect des droits de l’homme », a indiqué la présidente de la CNDHCI, Namizata Sanagaré. Elle a invité les populations au civisme, au respect à la vie, à la santé, à l’éducation, à la paix, et à la sécurité.
Au cours des échanges avec les populations, Namizata Sanagaré a appelé les populations à la cohésion sociale, non sans les encourager à saisir la CNDHCI à travers ses commissions régionales dans ces localités.
Elle a aussi plaidé pour qu’un rôle plus important soit attribué aux autorités traditionnelles dans le règlement des différends.
gak/fmo
Selon une note de la Commission dont copie a été transmise vendredi, à l’AIP, cette mission, consécutive aux violents évènements survenus en novembre 2017 à Guiglo et en février à Bloléquin, visait à amener les populations à ne pas fouler aux pieds les droits de l’Homme.
« Cette tournée avait pour but de sensibiliser les populations des localités de Guiglo et Blolequin sur le respect des droits de l’homme », a indiqué la présidente de la CNDHCI, Namizata Sanagaré. Elle a invité les populations au civisme, au respect à la vie, à la santé, à l’éducation, à la paix, et à la sécurité.
Au cours des échanges avec les populations, Namizata Sanagaré a appelé les populations à la cohésion sociale, non sans les encourager à saisir la CNDHCI à travers ses commissions régionales dans ces localités.
Elle a aussi plaidé pour qu’un rôle plus important soit attribué aux autorités traditionnelles dans le règlement des différends.
gak/fmo