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La Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté a abrité ce jeudi 15 mars, le petit café PYPA, une conférence-débat ayant pour thème : « Education et développement - Et si ce salut passait par les TIC », organisée par le PYPA (Programme des jeunes politiciens en Afrique), animée par Raïssa Banhoro, certifiée en formation web et premier prix RFI Challenge App 2017.
A travers cette rencontre d’échanges entre jeunes leaders politiques et de la société civile, la Fondation Friedrich Naumann porte un intérêt particulier à la question de l’autonomisation de la jeunesse par la formation et la création d’emploi via le web.
Le développement, selon la conférencière, est un état d’esprit, un changement de mentalité. Tout commence par le changement de mentalité. L’éducation est la base de tout développement, car sans éducation on n’arrive à rien. Face au faible taux d’alphabétisation en Côte d’Ivoire, le recours aux TIC est une solution qu’elle préconise avec au préalable un écosystème favorable à l’utilisation efficiente de l’internet.
« On ne peut pas dire qu’aujourd’hui on va utiliser les TIC pour accélérer l’éducation alors que les gens ont du mal à se connecter à internet, à acheter un smart phone, à avoir un ordinateur », a-t-elle précisé. Elle a illustré son propos en se servant de son exemple personnel, à savoir, qu’elle bénéficie de plusieurs certifications dans divers domaines grâce à des formations en ligne. Pour elle, l’internet doit servir à former à travers des contenus éducatifs et scientifiques.
« Les jeunes lors de leur premier contact avec le web, ont beaucoup été exposés aux réseaux sociaux. Il faut beaucoup mieux inciter les jeunes à s’exposer à un bon contenu, différent des réseaux sociaux », a déclaré Raïssa Banhoro, gérante de start up via le web.
En outre, Magloire N’Dehi, Chargé de programme et communication de la Fondation Friedrich Naumann a inscrit cette activité dans une double thématique, la première qui est l’éducation et le développement, la seconde qui concerne essentiellement les TIC à savoir les nouvelles technologies.
Selon lui, la Fondation Friedrich Naumann adhère au fait que les TICS peuvent être un bon outil de développement et d’éducation dans les sociétés africaines. Ce pourquoi, elle a soutenu cette initiative en donnant un cadre de réflexion aux jeunes pour que la population ivoirienne qui comprend plus de 70% de jeunes puisse mieux comprendre les enjeux de la technologie pour le développement.
« La Fondation étant une fondation politique, il a été important pour nous d’accompagner ces jeunes qui ont décidé de se former, de prendre des initiatives de promotion d’une autre façon de faire la politique. Il s’agit pour nous de soutenir tous ces engagements des jeunes qui permettent de développer la culture de la politique. Mais, surtout celle de la non violence qui utilise le débat et la réflexion pour faire avancer les choses », a déclaré Magloire N’Dehi.
Par ailleurs, le Coordonnateur national du PYPA, Marchal Seri a souligné que les TIC sont en train de contribuer à l’évolution et au développement du monde. Il est donc important pour les jeunes de s’accommoder avec ces nouvelles technologies-là.
JOB
A travers cette rencontre d’échanges entre jeunes leaders politiques et de la société civile, la Fondation Friedrich Naumann porte un intérêt particulier à la question de l’autonomisation de la jeunesse par la formation et la création d’emploi via le web.
Le développement, selon la conférencière, est un état d’esprit, un changement de mentalité. Tout commence par le changement de mentalité. L’éducation est la base de tout développement, car sans éducation on n’arrive à rien. Face au faible taux d’alphabétisation en Côte d’Ivoire, le recours aux TIC est une solution qu’elle préconise avec au préalable un écosystème favorable à l’utilisation efficiente de l’internet.
« On ne peut pas dire qu’aujourd’hui on va utiliser les TIC pour accélérer l’éducation alors que les gens ont du mal à se connecter à internet, à acheter un smart phone, à avoir un ordinateur », a-t-elle précisé. Elle a illustré son propos en se servant de son exemple personnel, à savoir, qu’elle bénéficie de plusieurs certifications dans divers domaines grâce à des formations en ligne. Pour elle, l’internet doit servir à former à travers des contenus éducatifs et scientifiques.
« Les jeunes lors de leur premier contact avec le web, ont beaucoup été exposés aux réseaux sociaux. Il faut beaucoup mieux inciter les jeunes à s’exposer à un bon contenu, différent des réseaux sociaux », a déclaré Raïssa Banhoro, gérante de start up via le web.
En outre, Magloire N’Dehi, Chargé de programme et communication de la Fondation Friedrich Naumann a inscrit cette activité dans une double thématique, la première qui est l’éducation et le développement, la seconde qui concerne essentiellement les TIC à savoir les nouvelles technologies.
Selon lui, la Fondation Friedrich Naumann adhère au fait que les TICS peuvent être un bon outil de développement et d’éducation dans les sociétés africaines. Ce pourquoi, elle a soutenu cette initiative en donnant un cadre de réflexion aux jeunes pour que la population ivoirienne qui comprend plus de 70% de jeunes puisse mieux comprendre les enjeux de la technologie pour le développement.
« La Fondation étant une fondation politique, il a été important pour nous d’accompagner ces jeunes qui ont décidé de se former, de prendre des initiatives de promotion d’une autre façon de faire la politique. Il s’agit pour nous de soutenir tous ces engagements des jeunes qui permettent de développer la culture de la politique. Mais, surtout celle de la non violence qui utilise le débat et la réflexion pour faire avancer les choses », a déclaré Magloire N’Dehi.
Par ailleurs, le Coordonnateur national du PYPA, Marchal Seri a souligné que les TIC sont en train de contribuer à l’évolution et au développement du monde. Il est donc important pour les jeunes de s’accommoder avec ces nouvelles technologies-là.
JOB
