Yamoussoukro -L’écrivain Serge Bilé a plaidé jeudi lors du démarrage des festivités de Paquinou du Bélier 2018 à Yamoussoukro, en faveur de l’établissement d’un pont culturel entre des Guyanais et des peuples Agni et Baoulé de Côte d’Ivoire.
Selon l’homme de lettres, des descendants des Agni et Baoulé déportés dans cette contrée insulaire travaillent ensemble depuis des siècles à combattre l’esclavage au XVIIIè siècle et garder leur tradition et leur culture.
"Je souhaite à titre personnel, avec l’aide de toutes les autorités, du Premier ministre et d’autres personnes qui souhaiteraient faire venir, d’ici six mois, le mois d’octobre, une délégation des Boni en Côte d’Ivoire pour qu’ils puissent renouer avec leurs ancêtres les Agni et les Baoulé", a indiqué l’écrivain.
Serge Bilé s’est félicité d’avoir apporté leur témoignage, estimant les festivités de Paquinou du Bélier 2018 qui réunit, cette année, les peuples Baoulé et Agni à Yamoussoukro, est l’occasion de perpétuer tout ce qui a manqué depuis des siècles.
L’homme de lettres a expliqué que sur le fleuve Maroni, en Guyane, existent des villages où l’on trouve des noms ivoiriens tels que Kouakou, Koffi, Affiba, des gens qui ont gardé les traditions Agni et Baoulé.
"Là-bas, en Guyane, il y a des gens qui sont comme nous qui ont gardé les mêmes traditions que nous et qui font partie à la fois de nos rives, Agni et Baoulé, et qui ont gardé presqu’intactes des traditions", a conclu l’écrivain ivoirien basé en Guyane.
nam/kp
fmo
Selon l’homme de lettres, des descendants des Agni et Baoulé déportés dans cette contrée insulaire travaillent ensemble depuis des siècles à combattre l’esclavage au XVIIIè siècle et garder leur tradition et leur culture.
"Je souhaite à titre personnel, avec l’aide de toutes les autorités, du Premier ministre et d’autres personnes qui souhaiteraient faire venir, d’ici six mois, le mois d’octobre, une délégation des Boni en Côte d’Ivoire pour qu’ils puissent renouer avec leurs ancêtres les Agni et les Baoulé", a indiqué l’écrivain.
Serge Bilé s’est félicité d’avoir apporté leur témoignage, estimant les festivités de Paquinou du Bélier 2018 qui réunit, cette année, les peuples Baoulé et Agni à Yamoussoukro, est l’occasion de perpétuer tout ce qui a manqué depuis des siècles.
L’homme de lettres a expliqué que sur le fleuve Maroni, en Guyane, existent des villages où l’on trouve des noms ivoiriens tels que Kouakou, Koffi, Affiba, des gens qui ont gardé les traditions Agni et Baoulé.
"Là-bas, en Guyane, il y a des gens qui sont comme nous qui ont gardé les mêmes traditions que nous et qui font partie à la fois de nos rives, Agni et Baoulé, et qui ont gardé presqu’intactes des traditions", a conclu l’écrivain ivoirien basé en Guyane.
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