Abidjan (Côte d’Ivoire) - Les populations d’Anoumabo, petit village de Marcory, commune abidjanaise située dans le Sud de la capitale économique ivoirienne, ont salué mardi ’’l’impact positif’’ du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (FEMUA) sur le développement de leur village.
A en croire plusieurs riverains de ce village où A’Salfo et ses camarades du groupe ’’Magic System’’ ont vu des ‘’vertes et des pas mûres’’ avant de connaître la gloire, le FEMUA initié par ses derniers dans ce village a permis d’impacter positivement son développement avec la construction de nouvelles infrastructures.
’’ Le FEMUA a vraiment apporté beaucoup de choses positives dans ce village. Au-delà des infrastructures comme l’école primaire construite par le groupe Magic System et un commissariat de police en construction, le FEMUA favorise la réfection de la voirie’’, a confié à APA, Issa Sawadogo Yamba, un cinquantenaire résidant à Anoumabo depuis 1982.
Au-delà des retombées sociales, ajoute M. Sawadogo, ’’ grâce au FEMUA, le monde entier veut découvrir Anoumabo’’. Poursuivant, il a également souligné plusieurs autres aspects positifs de ce festival pour son village, notamment au plan culturel.
’’ En plus de l’aspect éducatif et sanitaire où ils ont déjà réalisé des infrastructures, nous souhaitons que le groupe Magic System s’impliquent davantage aux cotés des autorités locales dans la réfection de la voirie’’, a-t-il souhaité.
Comme lui, Simplice Ganga, un jeune homme de 29 ans, lui-aussi natif d’Anoumabo s’est félicité des bons points du FEMUA pour son village encourageant les ’’ Magiciens’’ à continuer d’œuvrer au développement de ce village.
’’A chaque fois qu’ils organisent le FEMUA, ils font des dons à l’hôpital du village. Ce festival permet également de faire prospérer les activités commerciales du village’’, indique-t-il.
Dans le même registre, relativement à l’impact économique du FEMUA sur le village d’Anoumabo, Sia Sekéba dit Sega, un vendeur de pain à la saucisse affirme que ce festival’’ est venu avec le bonheur’’, se réjouissant de ce que pendant le FEMUA, ’’mon chiffre d’affaire augmente’’.
Le FEMUA dont la onzième édition s’est ouverte, mardi après-midi à Anoumabo, est l’un des plus grands festivals d’Afrique subsaharienne initié par le mythique groupe musical ivoirien ’’Magic System’’ et qui se veut une tribune de promotion des rythmes musicaux urbains.
Il se veut également une plateforme de sensibilisation sur les grandes problématiques qui touchent le continent africain. Plusieurs artistes nationaux et internationaux de renommée, presteront sur la scène du FEMUA 11 dont Sidiki Diabaté, Lokua Kanza, Soprano, Yemi Alade, Kedjevara DJ et les leaders.
Cette édition 2018 se déroule autour du thème ’’jeunesse et immigration clandestine’’ avec près de 150.000 festivaliers attendus, plusieurs artistes locaux et internationaux dont huit ’’ grosses stars internationales’’. L’apothéose est prévue le 22 avril prochain.
LB/ls/APA
A en croire plusieurs riverains de ce village où A’Salfo et ses camarades du groupe ’’Magic System’’ ont vu des ‘’vertes et des pas mûres’’ avant de connaître la gloire, le FEMUA initié par ses derniers dans ce village a permis d’impacter positivement son développement avec la construction de nouvelles infrastructures.
’’ Le FEMUA a vraiment apporté beaucoup de choses positives dans ce village. Au-delà des infrastructures comme l’école primaire construite par le groupe Magic System et un commissariat de police en construction, le FEMUA favorise la réfection de la voirie’’, a confié à APA, Issa Sawadogo Yamba, un cinquantenaire résidant à Anoumabo depuis 1982.
Au-delà des retombées sociales, ajoute M. Sawadogo, ’’ grâce au FEMUA, le monde entier veut découvrir Anoumabo’’. Poursuivant, il a également souligné plusieurs autres aspects positifs de ce festival pour son village, notamment au plan culturel.
’’ En plus de l’aspect éducatif et sanitaire où ils ont déjà réalisé des infrastructures, nous souhaitons que le groupe Magic System s’impliquent davantage aux cotés des autorités locales dans la réfection de la voirie’’, a-t-il souhaité.
Comme lui, Simplice Ganga, un jeune homme de 29 ans, lui-aussi natif d’Anoumabo s’est félicité des bons points du FEMUA pour son village encourageant les ’’ Magiciens’’ à continuer d’œuvrer au développement de ce village.
’’A chaque fois qu’ils organisent le FEMUA, ils font des dons à l’hôpital du village. Ce festival permet également de faire prospérer les activités commerciales du village’’, indique-t-il.
Dans le même registre, relativement à l’impact économique du FEMUA sur le village d’Anoumabo, Sia Sekéba dit Sega, un vendeur de pain à la saucisse affirme que ce festival’’ est venu avec le bonheur’’, se réjouissant de ce que pendant le FEMUA, ’’mon chiffre d’affaire augmente’’.
Le FEMUA dont la onzième édition s’est ouverte, mardi après-midi à Anoumabo, est l’un des plus grands festivals d’Afrique subsaharienne initié par le mythique groupe musical ivoirien ’’Magic System’’ et qui se veut une tribune de promotion des rythmes musicaux urbains.
Il se veut également une plateforme de sensibilisation sur les grandes problématiques qui touchent le continent africain. Plusieurs artistes nationaux et internationaux de renommée, presteront sur la scène du FEMUA 11 dont Sidiki Diabaté, Lokua Kanza, Soprano, Yemi Alade, Kedjevara DJ et les leaders.
Cette édition 2018 se déroule autour du thème ’’jeunesse et immigration clandestine’’ avec près de 150.000 festivaliers attendus, plusieurs artistes locaux et internationaux dont huit ’’ grosses stars internationales’’. L’apothéose est prévue le 22 avril prochain.
LB/ls/APA
