Pour sa 11e édition, le festival de musique ivoirien, qui s'est ouvert mardi, a quitté son site historique d'Anoumabo et tente de fédérer un public toujours plus large dans le pays, sans perdre son âme.
La rue principale du village d’Anoumabo paraît bien déserte. Quelques habitués seulement sirotent des bières dans les maquis traditionnellement bondés les jours de festival. Pas de scène, pas de loges, pas de grilles pour contenir les milliers de spectateurs qui se pressaient plus nombreux d’année en année pour admirer les plus grandes stars du continent. C’est que cette année, le Femua, Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo, ne se fera pas à Anoumabo.
Certes, la rue accueille bien l’espace « Femua Kids » où vont s’égayer des centaines d’enfants,... suite de l'article sur Jeune Afrique
La rue principale du village d’Anoumabo paraît bien déserte. Quelques habitués seulement sirotent des bières dans les maquis traditionnellement bondés les jours de festival. Pas de scène, pas de loges, pas de grilles pour contenir les milliers de spectateurs qui se pressaient plus nombreux d’année en année pour admirer les plus grandes stars du continent. C’est que cette année, le Femua, Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo, ne se fera pas à Anoumabo.
Certes, la rue accueille bien l’espace « Femua Kids » où vont s’égayer des centaines d’enfants,... suite de l'article sur Jeune Afrique