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Dans sa mission de contribuer à la lutte contre la migration clandestine et à la promotion de la migration régulière, l’équipe du Centre d’accueil, d’information, d’orientation et d’accompagnement des migrants – Côte d’Ivoire (CAIOAM-CI) conduite par son Secrétaire permanente Mme Cynthia Ekra, continue d’aller au contact des chefs religieux, chefs coutumiers, associations et parents.
Après les étapes de Williamsville (Adjamé) et Abobo, l’équipe du CAIOAM s’est rendue les Jeudi 19 et Vendredi 20 avril 2018, à la rencontre des populations de Cocody, au Musée des arts et de Yopougon, à la Mairie de cette commune.
Sans se lasser, la Secrétaire permanente du CAIOAM-CI a adressé aux représentants d’associations, chefs religieux et communautaires, un message de prise de conscience relatif à la gravité du phénomène de la migration irrégulière et aux conditions de la migration régulière, afin que ceux-ci soient les relais de cette information auprès de leur population. Elle a mis à profit ces sessions de sensibilisation pour interpeller les parents qui encouragent leurs enfants à la migration irrégulière aux fins de faire fortune, sur les dangers et les risques de perte de vie qu’offre le mirage de la traversée du désert et de la méditerranée.
En dressant le bilan partiel des efforts de l’Etat de Côte d’Ivoire, à travers le Ministère de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur (MIAIE), Mme Cynthia Ekra a révélé que 2444 ivoiriens ont été rapatriés en Côte d’Ivoire dont 1756 en provenance de la Lybie.
En outre, Mme Bamba Karidja, Sous-directrice de la libre circulation des personnes au MIAIE, a-t’elle donné quelques orientations sur les documents à fournir pour une migration régulière qui favorise le respect de la dignité et des droits de l’homme.
« Les images choquent plus que les mots, ce pourquoi, nous avons décidé de vous faire voir un film documentaire qui retrace le vécu des migrants clandestins », a indiqué Cynthia Ekra, avant la projection d’un film qui peint la réalité des risquent de l’immigration clandestine. Cette transition a donné lieu à des échanges entre le public et le CAIOAM qui ont permis des contributions, approches de solutions et recommandations au MIAIE.
Notons que ces sessions de sensibilisation et d’information sur les conditions de la migration régulière et les risques de la migration irrégulière ciblées ont eu lieu dans plusieurs localités et communes du pays. Nous sommes à l’étape du district d’Abidjan.
JOB
Après les étapes de Williamsville (Adjamé) et Abobo, l’équipe du CAIOAM s’est rendue les Jeudi 19 et Vendredi 20 avril 2018, à la rencontre des populations de Cocody, au Musée des arts et de Yopougon, à la Mairie de cette commune.
Sans se lasser, la Secrétaire permanente du CAIOAM-CI a adressé aux représentants d’associations, chefs religieux et communautaires, un message de prise de conscience relatif à la gravité du phénomène de la migration irrégulière et aux conditions de la migration régulière, afin que ceux-ci soient les relais de cette information auprès de leur population. Elle a mis à profit ces sessions de sensibilisation pour interpeller les parents qui encouragent leurs enfants à la migration irrégulière aux fins de faire fortune, sur les dangers et les risques de perte de vie qu’offre le mirage de la traversée du désert et de la méditerranée.
En dressant le bilan partiel des efforts de l’Etat de Côte d’Ivoire, à travers le Ministère de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur (MIAIE), Mme Cynthia Ekra a révélé que 2444 ivoiriens ont été rapatriés en Côte d’Ivoire dont 1756 en provenance de la Lybie.
En outre, Mme Bamba Karidja, Sous-directrice de la libre circulation des personnes au MIAIE, a-t’elle donné quelques orientations sur les documents à fournir pour une migration régulière qui favorise le respect de la dignité et des droits de l’homme.
« Les images choquent plus que les mots, ce pourquoi, nous avons décidé de vous faire voir un film documentaire qui retrace le vécu des migrants clandestins », a indiqué Cynthia Ekra, avant la projection d’un film qui peint la réalité des risquent de l’immigration clandestine. Cette transition a donné lieu à des échanges entre le public et le CAIOAM qui ont permis des contributions, approches de solutions et recommandations au MIAIE.
Notons que ces sessions de sensibilisation et d’information sur les conditions de la migration régulière et les risques de la migration irrégulière ciblées ont eu lieu dans plusieurs localités et communes du pays. Nous sommes à l’étape du district d’Abidjan.
JOB
