Abidjan - Plus 300.000 personnes meurent par an en Afrique des suites d’accidents de travail ou de maladies professionnelles, a révélé, lundi à Abidjan, le secrétaire général de l’Association internationale de sécurité sociale (AISS), Hans-Horst Konkolewsky.
« Ces chiffres sont alarmants ; (…) il est temps d’investir dans le capital humain », a déclaré M. Konkolewsky, lors de la cérémonie de lancement, pour la zone Afrique de la campagne « Vision zéro », un programme de sensibilisation et de formation destiné à éliminer les risques d’accidents et de maladie sur les lieux de travail.
En présence du ministre ivoirien de l’Emploi et de la Protection sociale, Jean-Claude Kouassi, le secrétaire général de l’AISS a exhorté les participants, notamment des responsables d’entreprises, de syndicats, de personnels et des questions de santé et de sécurité au travail, ainsi que des institutions et organisations de la société civile, à profiter de ces travaux pour mieux renforcer leurs capacités et partager leurs expérience pour éradiquer ces fléaux.
« Car, il est possible d’éviter les accidents », a-t-il dit.
Pour certains participants interrogés par l’AIP, un accent particulier devrait être mis sur la prévention des risques durant ces travaux, qui entendent déboucher sur « une nouvelle approche pour la santé et la sécurité au travail ».
L’Organisation internationale du travail (OIT) estime les coûts des accidents liés au travail à 4% du PIB au plan mondial.
En Côte d’Ivoire, quelque 6000 accidents de travail et 10 maladies professionnelles sont enregistrés en moyenne annuellement sur les trois dernières années.
tm
« Ces chiffres sont alarmants ; (…) il est temps d’investir dans le capital humain », a déclaré M. Konkolewsky, lors de la cérémonie de lancement, pour la zone Afrique de la campagne « Vision zéro », un programme de sensibilisation et de formation destiné à éliminer les risques d’accidents et de maladie sur les lieux de travail.
En présence du ministre ivoirien de l’Emploi et de la Protection sociale, Jean-Claude Kouassi, le secrétaire général de l’AISS a exhorté les participants, notamment des responsables d’entreprises, de syndicats, de personnels et des questions de santé et de sécurité au travail, ainsi que des institutions et organisations de la société civile, à profiter de ces travaux pour mieux renforcer leurs capacités et partager leurs expérience pour éradiquer ces fléaux.
« Car, il est possible d’éviter les accidents », a-t-il dit.
Pour certains participants interrogés par l’AIP, un accent particulier devrait être mis sur la prévention des risques durant ces travaux, qui entendent déboucher sur « une nouvelle approche pour la santé et la sécurité au travail ».
L’Organisation internationale du travail (OIT) estime les coûts des accidents liés au travail à 4% du PIB au plan mondial.
En Côte d’Ivoire, quelque 6000 accidents de travail et 10 maladies professionnelles sont enregistrés en moyenne annuellement sur les trois dernières années.
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