A l’occasion de la commémoration du 25ème anniversaire du décès du premier président de la République de Côte d’Ivoire, S.E.M. Félix Houphouët-Boigny, la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la Recherche de la Paix organise depuis le mois de janvier une série d’activités scientifiques, culturelles, sportives, religieuses qui prendront fin en décembre 2018.
C’est dans ce cadre qu’une conférence publique ayant pour thème : « l’abolition du travail forcé », a été animée ce lundi 30 avril, à l’Amphithéâtre B du District de l’Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB), par Dr René Pierre Anouma, Directeur de la Coopération internationale de ladite Fondation.
En effet, « l’abolition du travail forcé », un sujet assez intéressant qui, a permis au conférencier d’expliquer que le travail forcé fut une forme d’esclavage imputée volontairement aux populations de l’Afrique noire, perçues comme paresseuses. Le travail forcé, ce projet machiavélique fut sous-tendu par deux principes, à savoir, la domination politique et l’exploitation économique des colonies. Cette situation pénible et insupportable ne pouvait être acceptée tout le temps.
Ce pourquoi, des leaders, charismatiques, courageux comme Félix Houphouët-Boigny ont pris le devant de la scène pour lutter contre le travail forcé. Félix Houphouët-Boigny fut ainsi la cheville ouvrière de l’abolition du travail forcé. L’abolition du travail forcé a été votée le 05 avril 1946 par l’Assemblée Nationale française, sous l’impulsion de Félix Houphouët-Boigny, alors Député, à travers une proposition de loi.
En outre, faut-il le noter, à l’ouverture de cette conférence qui a connu l’affluence d’étudiants et la participation du Chef de Département d’Histoire, Dr Moussa Paré, le Secrétaire Général de la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la Recherche de la Paix, Prof Jean Noël Loucou a souligné que cette conférence se tient un 30 avril, date de la reconnaissance officielle du PDCI-RDA, créé le 9 avril 1946.
« Cela fait, aujourd’hui, jour pour jour, 72 ans que le PDCI, parti de lutte anticoloniale et du nationalisme ivoirien, existe légalement », a-t-il confié.
Selon lui, en commémorant Houphouët, la Fondation se conforme à un devoir de mémoire en renouant avec un élément majeur de l’identité nationale ivoirienne. « Nous voulons aussi promouvoir les valeurs de la paix et les valeurs de la citoyenneté comme le respect des droits de l’homme et de la démocratie qui sont pour beaucoup dans le caractère apaisé d’une société », a soutenu Prof Jean Noël Loucou.
JOB
C’est dans ce cadre qu’une conférence publique ayant pour thème : « l’abolition du travail forcé », a été animée ce lundi 30 avril, à l’Amphithéâtre B du District de l’Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB), par Dr René Pierre Anouma, Directeur de la Coopération internationale de ladite Fondation.
En effet, « l’abolition du travail forcé », un sujet assez intéressant qui, a permis au conférencier d’expliquer que le travail forcé fut une forme d’esclavage imputée volontairement aux populations de l’Afrique noire, perçues comme paresseuses. Le travail forcé, ce projet machiavélique fut sous-tendu par deux principes, à savoir, la domination politique et l’exploitation économique des colonies. Cette situation pénible et insupportable ne pouvait être acceptée tout le temps.
Ce pourquoi, des leaders, charismatiques, courageux comme Félix Houphouët-Boigny ont pris le devant de la scène pour lutter contre le travail forcé. Félix Houphouët-Boigny fut ainsi la cheville ouvrière de l’abolition du travail forcé. L’abolition du travail forcé a été votée le 05 avril 1946 par l’Assemblée Nationale française, sous l’impulsion de Félix Houphouët-Boigny, alors Député, à travers une proposition de loi.
En outre, faut-il le noter, à l’ouverture de cette conférence qui a connu l’affluence d’étudiants et la participation du Chef de Département d’Histoire, Dr Moussa Paré, le Secrétaire Général de la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la Recherche de la Paix, Prof Jean Noël Loucou a souligné que cette conférence se tient un 30 avril, date de la reconnaissance officielle du PDCI-RDA, créé le 9 avril 1946.
« Cela fait, aujourd’hui, jour pour jour, 72 ans que le PDCI, parti de lutte anticoloniale et du nationalisme ivoirien, existe légalement », a-t-il confié.
Selon lui, en commémorant Houphouët, la Fondation se conforme à un devoir de mémoire en renouant avec un élément majeur de l’identité nationale ivoirienne. « Nous voulons aussi promouvoir les valeurs de la paix et les valeurs de la citoyenneté comme le respect des droits de l’homme et de la démocratie qui sont pour beaucoup dans le caractère apaisé d’une société », a soutenu Prof Jean Noël Loucou.
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