Bouna - Le parc national de la Comoé regorge une biodiversité, c'est-à-dire une diversité biologique exceptionnelle désignée par la variété et la variabilité des organismes qui y vivent, a appris l'AIP samedi au cours d'un panel organisé à Bouna à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale du patrimoine africain.
Selon le directeur de la station de recherche du parc national de la Comoé, Dr Koné Abdoulaye, paneliste par ailleurs Maître-Assistant à l'Université Nangui Abrogoua, à Abidjan, cette aire protégée enregistre plusieurs organismes repartis en diverses espèces recensées. Pour lui, tout cela concourt au charme de ce parc classé patrimoine mondial de l'UNESCO et réserve de biosphère.
A travers un tableau récapitulatif, il a donc fourni des informations précises sur le nombre des espèces recensées. Le parc national de la Comoé regorge 1162 espèces de plantes, 500 types d'oiseaux, 140 espèces de mammifères, 71 espèces de reptiles et 70 chez les poisons, entre autres.
"Ce parc qui s'étend sur 1149 150 hectares est un condensé de richesse tant au niveau de la faune qu'au niveau de la flore. Il a une biodiversité exceptionnelle, un bien commun à véritablement préserver pour les générations futurs ", a indiqué Dr Koné.
on/cmas
Selon le directeur de la station de recherche du parc national de la Comoé, Dr Koné Abdoulaye, paneliste par ailleurs Maître-Assistant à l'Université Nangui Abrogoua, à Abidjan, cette aire protégée enregistre plusieurs organismes repartis en diverses espèces recensées. Pour lui, tout cela concourt au charme de ce parc classé patrimoine mondial de l'UNESCO et réserve de biosphère.
A travers un tableau récapitulatif, il a donc fourni des informations précises sur le nombre des espèces recensées. Le parc national de la Comoé regorge 1162 espèces de plantes, 500 types d'oiseaux, 140 espèces de mammifères, 71 espèces de reptiles et 70 chez les poisons, entre autres.
"Ce parc qui s'étend sur 1149 150 hectares est un condensé de richesse tant au niveau de la faune qu'au niveau de la flore. Il a une biodiversité exceptionnelle, un bien commun à véritablement préserver pour les générations futurs ", a indiqué Dr Koné.
on/cmas