Dimbokro- Les producteurs de noix de cajou de Dimbokro éprouvent des difficultés à commercialiser leurs produits, annonce le président de la Société coopérative des producteurs agricole de la ville, N’goran Koffi Séraphin, qui juge cette situation "amère" pour les paysans.
« Aujourd’hui les producteurs ont encore des produits sous le bras et ils n’arrivent pas à les commercialiser. c'est une situation amère», a notamment affirmé N’goran Koffi Séraphin, lors d’un entretien accordé mardi à l’AIP à Dimbokro.
Le président N’goran Koffi a expliqué que cette mévente de la noix de cajou est due d’ »une part à l’engorgement du port autonome et d’autre part à la mauvaise qualité des produits proposés par les planteurs.
« Il y a un problème de qualité au niveau des producteurs. Nous avons fait des ateliers pour les sensibiliser mais rien n’y fit », a ajouté M Il a menacé les acheteurs « véreux » qui veulent profiter de la situation pour acheter les produits à moins de 500 FCFA, prix homologué par le gouvernement.
« Nos parents ont fait de la rétention, pensant que le prix allait grimper comme les années passées mais ce qui n’a pas été le cas et avec la saison des pluies, il n’est pas sûr que cette flambée des prix arrive. Avec la saison des pluies qui compliquent le séchage et le ramassage, il n’est pas sûr que les produits soient bien séchés et triés et stockés dans de bonnes conditions », a dit le premier responsable de la coopérative agricole de Dimbokro.
ik/tm
« Aujourd’hui les producteurs ont encore des produits sous le bras et ils n’arrivent pas à les commercialiser. c'est une situation amère», a notamment affirmé N’goran Koffi Séraphin, lors d’un entretien accordé mardi à l’AIP à Dimbokro.
Le président N’goran Koffi a expliqué que cette mévente de la noix de cajou est due d’ »une part à l’engorgement du port autonome et d’autre part à la mauvaise qualité des produits proposés par les planteurs.
« Il y a un problème de qualité au niveau des producteurs. Nous avons fait des ateliers pour les sensibiliser mais rien n’y fit », a ajouté M Il a menacé les acheteurs « véreux » qui veulent profiter de la situation pour acheter les produits à moins de 500 FCFA, prix homologué par le gouvernement.
« Nos parents ont fait de la rétention, pensant que le prix allait grimper comme les années passées mais ce qui n’a pas été le cas et avec la saison des pluies, il n’est pas sûr que cette flambée des prix arrive. Avec la saison des pluies qui compliquent le séchage et le ramassage, il n’est pas sûr que les produits soient bien séchés et triés et stockés dans de bonnes conditions », a dit le premier responsable de la coopérative agricole de Dimbokro.
ik/tm