L’automédication et la vente de médicaments frauduleux constituent, en Côte d’Ivoire une véritable question de santé publique. Face au danger que représentent les médicaments frauduleux ou contrefaits sur la santé des populations, la CNDHCI a organisé une conférence-débat le mardi 8 mai 2018 à son siège sis à Cocody, les II Plateaux, Vallons, sur ‘’ la lutte contre les médicaments frauduleux ou contrefaits en Côte d’Ivoire : enjeux et perspectives’’.
Selon le commissaire, Koffi Assiénin, Trésorier à la CNDHCI, cette activité avait pour objectif de créer le cadre d’échanges sur la problématique de la vente illicite de médicaments et les risques qu’elle fait courir aux populations et présenter le cadre juridique, les enjeux et les défis de la lutte contre ce phénomène en Côte d’Ivoire.
Situant l’origine des médicaments de la rue, le conférencier, Docteur Benjamin Nambala TOURE, président du Comité national de Lutte contre le Trafic illicite et la Contrefaçon de Médicaments (Cotramed), a indiqué qu’elle se situe à deux niveaux (interne et externe). Selon lui, ces médicaments peuvent provenir des stocks de bons médicaments (volés ou donnés à dessein), de médicaments périmés ou à échéance de péremption proche, des échantillons des médicaments gratuits ou de dons de médicaments octroyés aux organisations caritatives et formations sanitaires, de la malfaçon ou de la contrefaçon.
Venus des différents marchés des dix communes d’Abidjan, des organisations nationales ou internationales travaillant dans le domaine de la santé, des ministères et structures techniques en charge des questions médicales et de santé publique, les participants à cette conférence-débat ont passé en revue les différents aspects de cette problématique à l’origine de graves violations du droit à la santé des populations ivoiriennes.
Situant l’esprit de cette rencontre, la Présidente de la CNDHCI, Madame Namizata Sangaré, a indiqué qu’il s’agissait pour la CNDHCI, au sortir de cette conférence, de faire des recommandations et suggestions au Gouvernement, ainsi qu’à tous les autres acteurs du système, afin d’apporter une solution durable à cette situation dont l’impact sur le droit à la santé peut être insoupçonnable.
Notons que cette rencontre fait suite à deux études menées par la CNDHCI respectivement en 2016 et 2017 sur le niveau de réalisation du droit à la santé en Côte d’Ivoire, qui ont révélé l’ampleur du phénomène des médicaments frauduleux ou contrefaits en Côte d’Ivoire.
Selon le commissaire, Koffi Assiénin, Trésorier à la CNDHCI, cette activité avait pour objectif de créer le cadre d’échanges sur la problématique de la vente illicite de médicaments et les risques qu’elle fait courir aux populations et présenter le cadre juridique, les enjeux et les défis de la lutte contre ce phénomène en Côte d’Ivoire.
Situant l’origine des médicaments de la rue, le conférencier, Docteur Benjamin Nambala TOURE, président du Comité national de Lutte contre le Trafic illicite et la Contrefaçon de Médicaments (Cotramed), a indiqué qu’elle se situe à deux niveaux (interne et externe). Selon lui, ces médicaments peuvent provenir des stocks de bons médicaments (volés ou donnés à dessein), de médicaments périmés ou à échéance de péremption proche, des échantillons des médicaments gratuits ou de dons de médicaments octroyés aux organisations caritatives et formations sanitaires, de la malfaçon ou de la contrefaçon.
Venus des différents marchés des dix communes d’Abidjan, des organisations nationales ou internationales travaillant dans le domaine de la santé, des ministères et structures techniques en charge des questions médicales et de santé publique, les participants à cette conférence-débat ont passé en revue les différents aspects de cette problématique à l’origine de graves violations du droit à la santé des populations ivoiriennes.
Situant l’esprit de cette rencontre, la Présidente de la CNDHCI, Madame Namizata Sangaré, a indiqué qu’il s’agissait pour la CNDHCI, au sortir de cette conférence, de faire des recommandations et suggestions au Gouvernement, ainsi qu’à tous les autres acteurs du système, afin d’apporter une solution durable à cette situation dont l’impact sur le droit à la santé peut être insoupçonnable.
Notons que cette rencontre fait suite à deux études menées par la CNDHCI respectivement en 2016 et 2017 sur le niveau de réalisation du droit à la santé en Côte d’Ivoire, qui ont révélé l’ampleur du phénomène des médicaments frauduleux ou contrefaits en Côte d’Ivoire.