Des heurts ont éclaté, mardi matin, entre deux groupes du principal mouvement estudiantin au sein de l’Université Félix Houphouët-Boigny (Première université publique), a appris APA de plusieurs sources.
Selon divers témoignages, il s’agit d’une « bagarre » opposant des sections ex-FLASH (Faculté de lettres des arts et sciences humaines) et de sciences économiques et de gestion-Droit de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI), perturbant les cours dans plusieurs facultés de ladite université.
Un membre de ce syndicat a confié à APA que « des membres de la faculté de Sciences économiques-Droits protestaient contre leurs camarades de la FLASH qui n’ont pas apporté leur soutien dans le cadre du recrutement au Master où des conditions d’admissions ont été corsées».
Auparavant, « les premiers avaient bénéficié du soutien de leurs camarades (code entre membres de mouvement) » auprès de l’administration. Les perturbations de cours sont régulières au sein des universités publiques ivoiriennes.
Par ailleurs, des enseignants réunis au sein de la Coordination nationale des enseignants et chercheurs (CNEC) qui dénoncent la gestion de l’actuel président de l’université Félix Houphouët- Boigny ont menacé vendredi dernier de rentrer en grève pour 3 jours à partir de la mi-mai.
Sa branche de l’Université Péléforo Gon Coulibaly de Korhogo (Nord-ivoirien) annonce également «un arrêt de travail illimité à partir du 28 mai».
SY/ls/APA
Selon divers témoignages, il s’agit d’une « bagarre » opposant des sections ex-FLASH (Faculté de lettres des arts et sciences humaines) et de sciences économiques et de gestion-Droit de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI), perturbant les cours dans plusieurs facultés de ladite université.
Un membre de ce syndicat a confié à APA que « des membres de la faculté de Sciences économiques-Droits protestaient contre leurs camarades de la FLASH qui n’ont pas apporté leur soutien dans le cadre du recrutement au Master où des conditions d’admissions ont été corsées».
Auparavant, « les premiers avaient bénéficié du soutien de leurs camarades (code entre membres de mouvement) » auprès de l’administration. Les perturbations de cours sont régulières au sein des universités publiques ivoiriennes.
Par ailleurs, des enseignants réunis au sein de la Coordination nationale des enseignants et chercheurs (CNEC) qui dénoncent la gestion de l’actuel président de l’université Félix Houphouët- Boigny ont menacé vendredi dernier de rentrer en grève pour 3 jours à partir de la mi-mai.
Sa branche de l’Université Péléforo Gon Coulibaly de Korhogo (Nord-ivoirien) annonce également «un arrêt de travail illimité à partir du 28 mai».
SY/ls/APA