Séguéla– Plusieurs acteurs de la filière coton prenant part, mardi, à un atelier à Séguéla(Centre-ouest, région du Worodougou), ont estimé que le système du zonage est une bonne initiative, qui a permis d’accroître leurs capacités de collecte du produit par rapport aux années précédentes.
« Avec les résultats obtenus, tout le monde est convaincu que la mise ne œuvre du zonage a été positive », a déclaré le directeur de la production agricole de la Compagnie ivoirienne de développement du textile (CIDT), Kodjané N’Diamoi, lors de cette rencontre destinée à faire la restitution des prestations de Conseil agricole, tenue à la salle des mariages de la mairie de Séguéla.
La CIDT, selon ses responsables, a pu collecter, pour cette première campagne post-zonage, 105.000 tonnes de coton contre 32.000 tonnes à la précédente campagne, avec un rendement à l’hectare qui est passé de 978 kg à 1230 kg.
Avec la réforme de la filière entamée par le gouvernement depuis 2013, la campagne 2017/2018 a été marquée par l’application du zonage qui est l’attribution de zones exclusives d’activités à six sociétés que sont la CIDT, la Société d’exploitation cotonnière d’Olam (SECO), Ivoire coton, la Compagnie ivoirienne de coton (COIC), la Société industrielle cotonnière des savanes 2.0 (SICOSA 2.0) et Global cotton.
La CIDT qui intervient dans la région du Worodougou, couvre une aire de compétence qui s’étend sur 10 zones dont les régions de la Marahoué, du Haut-Sassandra et du Béré.
« Au début, on n'y croyait pas trop, mais maintenant on a vu que c’est une bonne chose », a confié Koné Moussa, l’un des quatre-vingt producteurs présents à la rencontre, appuyé par son collègue Fofana Inza de Kani, qui voit pense que le zonage est une ‘’chance pour les producteurs’’ qui ont désormais un seul interlocuteur et sont mieux encadrés.
La filière coton a démarré en Côte d'Ivoire avec le zonage, qui avait été plus tard suspendu avec la libéralisation du secteur. Ce système de vente et d'achat du coton a été rétabli pour la dernière campagne qui s'est achevée en avril, rappelle-t-on.
kkp/tm
« Avec les résultats obtenus, tout le monde est convaincu que la mise ne œuvre du zonage a été positive », a déclaré le directeur de la production agricole de la Compagnie ivoirienne de développement du textile (CIDT), Kodjané N’Diamoi, lors de cette rencontre destinée à faire la restitution des prestations de Conseil agricole, tenue à la salle des mariages de la mairie de Séguéla.
La CIDT, selon ses responsables, a pu collecter, pour cette première campagne post-zonage, 105.000 tonnes de coton contre 32.000 tonnes à la précédente campagne, avec un rendement à l’hectare qui est passé de 978 kg à 1230 kg.
Avec la réforme de la filière entamée par le gouvernement depuis 2013, la campagne 2017/2018 a été marquée par l’application du zonage qui est l’attribution de zones exclusives d’activités à six sociétés que sont la CIDT, la Société d’exploitation cotonnière d’Olam (SECO), Ivoire coton, la Compagnie ivoirienne de coton (COIC), la Société industrielle cotonnière des savanes 2.0 (SICOSA 2.0) et Global cotton.
La CIDT qui intervient dans la région du Worodougou, couvre une aire de compétence qui s’étend sur 10 zones dont les régions de la Marahoué, du Haut-Sassandra et du Béré.
« Au début, on n'y croyait pas trop, mais maintenant on a vu que c’est une bonne chose », a confié Koné Moussa, l’un des quatre-vingt producteurs présents à la rencontre, appuyé par son collègue Fofana Inza de Kani, qui voit pense que le zonage est une ‘’chance pour les producteurs’’ qui ont désormais un seul interlocuteur et sont mieux encadrés.
La filière coton a démarré en Côte d'Ivoire avec le zonage, qui avait été plus tard suspendu avec la libéralisation du secteur. Ce système de vente et d'achat du coton a été rétabli pour la dernière campagne qui s'est achevée en avril, rappelle-t-on.
kkp/tm