L’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI) à travers un financement de l’Union Européenne de 28 millions d’Euros, a mis en œuvre en Côte d’Ivoire, depuis 2012, le Programme d’Appui à la Formation Professionnelle et à l’Insertion des Jeunes en Côte d’Ivoire (PROFORME) qui vise à appuyer la réforme de l’enseignement technique et professionnel.
Le projet PROFORME soutient le processus de réforme du système de formation professionnelle dans le pays à travers la formation de près de 7000 jeunes dont 2641 ex-combattants et la mise en place d’un modèle de gouvernance.
« Le résultat 1 de ce projet a pour objectif de rendre opérationnels le pilotage et le fonctionnement du système de formation professionnelle à travers notamment la mise en place d’un nouveau système de gouvernance de la formation professionnelle » a rappelé Maxime Camalonte, conseiller technique principal ONUDI-PROFORME.
C’est dans ce cadre qu’a été organisé ce mercredi à Jacqueville, ce jusqu’au vendredi, un atelier de validation des outils de gestion de la procédure de mise en œuvre des organes de gouvernance et d’établissement de la matrice complète des activités de capacitation.
«Nous sommes engagés dans le processus de réforme de l’ETFP en partenariat avec le secteur privé dans son ensemble. Cela vise à mettre en place des formations qui répondent au mieux aux besoins de l’économie nationale de sorte à éviter le chômage » explique Fofié Koffi, directeur de la formation professionnelle initiale au secrétariat d’Etat chargé de l’enseignement technique et de la formation professionnelle qui a adopté un modèle de gouvernance issu de propositions conjointes des projets PROFORME et C2D.
Poursuivant, il a indiqué qu’il faut donc accompagner ce modèle par des outils de gestion dont vont se servir les responsables de ces établissements dans le management de leurs établissements.
Après cet atelier, il est prévu un décret interministériel pour désigner les membres de ce comité qui seront ensuite installés dans huit établissements pilotes avec une feuille de route précise. Ainsi, après analyse et nettoyage, ce modèle sera élargi au plan national.
Rappelons que ce nouveau modèle implique la mise en place effective de deux instances de gouvernance ; le comité de gestion d’une part et le comité de direction d’autre part.
Il convient d’harmoniser les perceptions des membres du comité de mise en place, de finaliser et valider les outils de gestion et de dresser une matrice d’activités à même de prendre en compte les priorités des bénéficiaires et les objectifs des parties prenantes
Atapointe
Le projet PROFORME soutient le processus de réforme du système de formation professionnelle dans le pays à travers la formation de près de 7000 jeunes dont 2641 ex-combattants et la mise en place d’un modèle de gouvernance.
« Le résultat 1 de ce projet a pour objectif de rendre opérationnels le pilotage et le fonctionnement du système de formation professionnelle à travers notamment la mise en place d’un nouveau système de gouvernance de la formation professionnelle » a rappelé Maxime Camalonte, conseiller technique principal ONUDI-PROFORME.
C’est dans ce cadre qu’a été organisé ce mercredi à Jacqueville, ce jusqu’au vendredi, un atelier de validation des outils de gestion de la procédure de mise en œuvre des organes de gouvernance et d’établissement de la matrice complète des activités de capacitation.
«Nous sommes engagés dans le processus de réforme de l’ETFP en partenariat avec le secteur privé dans son ensemble. Cela vise à mettre en place des formations qui répondent au mieux aux besoins de l’économie nationale de sorte à éviter le chômage » explique Fofié Koffi, directeur de la formation professionnelle initiale au secrétariat d’Etat chargé de l’enseignement technique et de la formation professionnelle qui a adopté un modèle de gouvernance issu de propositions conjointes des projets PROFORME et C2D.
Poursuivant, il a indiqué qu’il faut donc accompagner ce modèle par des outils de gestion dont vont se servir les responsables de ces établissements dans le management de leurs établissements.
Après cet atelier, il est prévu un décret interministériel pour désigner les membres de ce comité qui seront ensuite installés dans huit établissements pilotes avec une feuille de route précise. Ainsi, après analyse et nettoyage, ce modèle sera élargi au plan national.
Rappelons que ce nouveau modèle implique la mise en place effective de deux instances de gouvernance ; le comité de gestion d’une part et le comité de direction d’autre part.
Il convient d’harmoniser les perceptions des membres du comité de mise en place, de finaliser et valider les outils de gestion et de dresser une matrice d’activités à même de prendre en compte les priorités des bénéficiaires et les objectifs des parties prenantes
Atapointe