Recueillir les aspirations de la jeunesse en terme de gouvernance politique, économique, socio-culturelle pour en faire des recommandations à l’endroit des décideurs. C’est le sens de l’exercice, dénommé ‘’Littéracie du futur’’ auquel a été soumise la jeunesse du district d’Abidjan par la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), le mercredi 23 mai 2018. A cet effet, des délégués de la CNDHCI sont allés à la rencontre des leaders de jeunesse des treize communes du District d’Abidjan avec un questionnaire pour leur permettre d’extérioriser leurs attentes. « Les questions liées au chômage, à l’éducation, à la santé, à la perte de la confiance en soi, l’instrumentalisation de la jeunesse par les politiques, la corruption, la faible participation de la jeunesse à la vie publique sont autant de défis que doivent relever les gouvernants pour un développement durable et inclusif », a expliqué la présidente de la CNDHCI, madame Namizata Sangaré pour justifier l’opportunité de cette consultation.
Après le lancement officiel de l’exercice à Cocody, et pour s’assurer de sa bonne marche sur le terrain, la patronne de la CNDHCI a sillonné les communes de Marcory, Koumassi, Port-Bouet, Treichville, etc.
Pour l’essentiel, ces jeunes ont salué cette lucarne qui leur a été offerte. C’est le cas de Metch Appolos de la commune de Port-Bouet, après avoir dénoncé la situation de chômage ambiant dans lequel est abandonné la jeunesse s’est lâché en ces termes : « Nous sommes fatigués de dormir dans le salon de nos parents », avant d’inviter les autorités à créer davantage d’opportunité d’emplois pour la jeunesse.
C’est avec à l’esprit d’avoir réussi cette expérience, que la présidente de la CNDHCI a arrêté son parcours dans la salle des fêtes de la mairie d’Adjamé où elle a promis à ces jeunes de donner suite à l’ensemble de leurs préoccupations qui seront consignés dans une forme de livre blanc adressé aux gouvernants.
DA
Après le lancement officiel de l’exercice à Cocody, et pour s’assurer de sa bonne marche sur le terrain, la patronne de la CNDHCI a sillonné les communes de Marcory, Koumassi, Port-Bouet, Treichville, etc.
Pour l’essentiel, ces jeunes ont salué cette lucarne qui leur a été offerte. C’est le cas de Metch Appolos de la commune de Port-Bouet, après avoir dénoncé la situation de chômage ambiant dans lequel est abandonné la jeunesse s’est lâché en ces termes : « Nous sommes fatigués de dormir dans le salon de nos parents », avant d’inviter les autorités à créer davantage d’opportunité d’emplois pour la jeunesse.
C’est avec à l’esprit d’avoir réussi cette expérience, que la présidente de la CNDHCI a arrêté son parcours dans la salle des fêtes de la mairie d’Adjamé où elle a promis à ces jeunes de donner suite à l’ensemble de leurs préoccupations qui seront consignés dans une forme de livre blanc adressé aux gouvernants.
DA