San Pedro – Une cérémonie de lancement officiel des activités 2018 du Système d’observation et de suivi du travail des enfants en Côte d’Ivoire (SOSTECI) a eu lieu vendredi, au centre culturel, présidée par le représentant du ministre de l’Emploi et de la protection sociale, Ousmane Coulibaly, préfet de région de San Pedro.
Le préfet, en traduisant le message du ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Jean-Claude Kouassi, a expliqué que le SOSTECI est un organe de veille et d’alerte précoce, avec pour objectifs, « l’identification des enfants en situation de travail ou à risque, pour les aider à en sortir, la sensibilisation des populations contre les risques et les dangers du travail des enfants, et la collecte de données sur la situation du travail des enfants dans les localités d’intervention ».
Le lancement de ses activités à San Pedro se fait après deux sessions de formation adressées aux ‘’unités opérationnelles’’ et ‘’comités protection enfants’’ locaux de San Pedro, Gabiadji et Grand-Béréby, installés en 2017. Les formations se sont tenues successivement du 07 au 11 mai et du 15 au 17 mai et ont porté sur les lois prises par le gouvernement sur le travail des enfants et les missions de ces structures.
Installés à ce jour dans neuf départements, 17 sous-préfectures et 47 villages, le Système a permis d’identifier et d’orienter vers les structures sociales de prise en charge près de 6400 enfants victimes de pires formes de travail des enfants, et de porter assistance à plus de 2200 enfants. Le SOSTECI prend en compte les quatre volets du plan national de lutte contre le travail des enfants, à savoir la prévention, la protection, la répression et le suivi-évaluation.
Le ministre Jean-Claude Kouassi a félicité ces structures du SOSTECI pour le travail accompli et a exhorté celles de San Pedro à faire en sorte que le Président Alassane Ouattara et le Gouvernement atteignent l’objectif d’éliminer en Côte d’Ivoire, les pires formes de travail des enfants dans la cacaoculture et dans tous les autres domaines d’activité.
Le porte-parole des communautés et bénéficiaires des formations, Tiémoko Albert, chef de la communauté Dan de San Pedro, a remercié le Gouvernement pour cette initiative et promis l’adhésion de toutes les communautés à cette lutte en faveur des enfants. « Nous voulons assurer de notre implication effective pour parler à nos populations, les sensibiliser, pour que ce phénomène puisse connaître une fin au grand bonheur de nos enfants », a-t-il déclaré.
(AIP)
jmk/cmas
Le préfet, en traduisant le message du ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Jean-Claude Kouassi, a expliqué que le SOSTECI est un organe de veille et d’alerte précoce, avec pour objectifs, « l’identification des enfants en situation de travail ou à risque, pour les aider à en sortir, la sensibilisation des populations contre les risques et les dangers du travail des enfants, et la collecte de données sur la situation du travail des enfants dans les localités d’intervention ».
Le lancement de ses activités à San Pedro se fait après deux sessions de formation adressées aux ‘’unités opérationnelles’’ et ‘’comités protection enfants’’ locaux de San Pedro, Gabiadji et Grand-Béréby, installés en 2017. Les formations se sont tenues successivement du 07 au 11 mai et du 15 au 17 mai et ont porté sur les lois prises par le gouvernement sur le travail des enfants et les missions de ces structures.
Installés à ce jour dans neuf départements, 17 sous-préfectures et 47 villages, le Système a permis d’identifier et d’orienter vers les structures sociales de prise en charge près de 6400 enfants victimes de pires formes de travail des enfants, et de porter assistance à plus de 2200 enfants. Le SOSTECI prend en compte les quatre volets du plan national de lutte contre le travail des enfants, à savoir la prévention, la protection, la répression et le suivi-évaluation.
Le ministre Jean-Claude Kouassi a félicité ces structures du SOSTECI pour le travail accompli et a exhorté celles de San Pedro à faire en sorte que le Président Alassane Ouattara et le Gouvernement atteignent l’objectif d’éliminer en Côte d’Ivoire, les pires formes de travail des enfants dans la cacaoculture et dans tous les autres domaines d’activité.
Le porte-parole des communautés et bénéficiaires des formations, Tiémoko Albert, chef de la communauté Dan de San Pedro, a remercié le Gouvernement pour cette initiative et promis l’adhésion de toutes les communautés à cette lutte en faveur des enfants. « Nous voulons assurer de notre implication effective pour parler à nos populations, les sensibiliser, pour que ce phénomène puisse connaître une fin au grand bonheur de nos enfants », a-t-il déclaré.
(AIP)
jmk/cmas
