A l’initiative de la Société mathématique de Côte d’Ivoire (SMCI), la première édition du Concours de mathématiques Houphouët-Boigny pour l’Enseignement supérieur s’est effectuée le samedi 26 mai 2018 à l’Ecole nationale des statistiques et d’économie appliquée (ENSEA).
108 étudiants issus des universités et grandes écoles de Côte d’Ivoire se sont retrouvés le samedi 26 mai 2018 à l’Amphithéâtre de l’ENSEA pour participer au concours Houphouët-Boigny des Mathématiques pour l’enseignement supérieur. Les matières concernées de cette compétition sont les mathématiques et l’informatique du niveau 1 (Licence 1, Licence 2 et classe opératoire) et niveau 2 (Licence).
Selon le Pr Koua Konin, Vice-président de la SMCI, il était temps, après plusieurs années consacrées au secondaire, que le concours de Mathématiques s’étende à l’enseignement supérieur, ‘’parce qu’on estime qu’il faut encourager nos étudiants à toujours continuer de pratiquer les mathématiques, surtout ceux qui sont en informatique et les filières scientifiques’’.
Le vice-président de la SMCI a par ailleurs interpellé les décideurs politiques quant aux conditions d’apprentissage des élèves et étudiants, notamment par la stabilisation du climat des études qui fait l’objet de grèves récurrentes.
DA
108 étudiants issus des universités et grandes écoles de Côte d’Ivoire se sont retrouvés le samedi 26 mai 2018 à l’Amphithéâtre de l’ENSEA pour participer au concours Houphouët-Boigny des Mathématiques pour l’enseignement supérieur. Les matières concernées de cette compétition sont les mathématiques et l’informatique du niveau 1 (Licence 1, Licence 2 et classe opératoire) et niveau 2 (Licence).
Selon le Pr Koua Konin, Vice-président de la SMCI, il était temps, après plusieurs années consacrées au secondaire, que le concours de Mathématiques s’étende à l’enseignement supérieur, ‘’parce qu’on estime qu’il faut encourager nos étudiants à toujours continuer de pratiquer les mathématiques, surtout ceux qui sont en informatique et les filières scientifiques’’.
Le vice-président de la SMCI a par ailleurs interpellé les décideurs politiques quant aux conditions d’apprentissage des élèves et étudiants, notamment par la stabilisation du climat des études qui fait l’objet de grèves récurrentes.
DA
