Yamoussoukro - Les finales du concours d’art oratoire français et anglais dénommé « flamme linguistique » de l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB) ont été remportées, samedi, par les étudiants Salé Stéphane Ehui et Myriam Bamba, tous deux en classe préparatoire biologique 1A de l’INPHB de Yamoussoukro.
Ces cadets de l’INP-HB ont surclassé leurs concurrents, également d'un assez bon niveau. Salé et Myriam ont surtout su par leur éloquence, maîtriser leur pensée dans l’action et su émouvoir et persuader le public.
Salé Stéphane Ehui, meilleur orateur en anglais et Myriam Bamba du groupe « Bio Géniaux » meilleure oratrice en français ont tout simplement séduit l’assistance de leur talent naissant et déclarés à juste titre vainqueurs par le jury.
Ces "fleurs d’éloquence" ont reçu les félicitations de Docteur Richard Bayala, enseignant chercheur au département de langue et sciences humaines à l’INP-HB et promoteur de la Flamme linguistique. Il s’est satisfait surtout de voir de beaux discours tenus par ses étudiants qui ont pris le temps pendant six mois qu’ont duré les compétitions, d’apprendre, de se remettre en cause, et de mettre en question beaucoup d’éléments qu’ils ne maîtrisaient pas.
Parrainée par l’ambassade de France en Côte d'Ivoire, la première édition de la flamme linguistique a porté sur deux thèmes à savoir « la lutte contre la déforestation forestière » pour les orateurs en français, et « l’immigration illégale », pour les orateurs en anglais.
Huit équipes dont quatre en anglais et quatre en français ont été retenues pour la finale, sur 34 équipes en français et 18 équipes en anglais qui ont pris part aux phases éliminatoires de cette première édition dont le lancement a eu lieu en janvier.
Le public a eu droit à de belles prestations avec des candidats désormais matures, en plus de la projection de la pièce « Sauvons le Cavally », une belle pièce de théâtre écrite par le metteur en scène Luis Marques, en collaboration avec la Fondation pour les chimpanzés sauvages (WCF- Wild Chimpanzee Fondation) sur la préservation de la forêt.
La Flamme linguistique a pour objectif d’accompagner les étudiants, de leur donner l’opportunité d’apprendre la rhétorique et l’éloquence. « Nous sommes dans un institut d’excellence, on ne se limite pas qu’au mathématique à la physique chimique et à la biologie, pour le faire, il faut également est très bon en anglais et en français », a souligné Dr Bayala.
"Pour lui, il s’agit de donner aux étudiants ce qu’il faut, notamment les outils linguistiques, afin qu’ils soient compétitifs sur le marché", a affirmé ce spécialiste en orthographe et grammaire, qui a encouragé les étudiants à s’intéresser à la Flamme linguistique pour mieux affronter le monde de l’emploi.
Richard Bayala a lancé un appel à l’aide et particulièrement à la direction de l’INPHB, afin de les appuyer "pour que le concours débuté par une étincelle devienne une véritable flamme". « Parce que le concours, nous le voulons comme le FEMUA dans quelques années", a souhaité le professeur de langues.
La « flamme linguistique » est un concours interne de langue française. Elle se veut une plate-forme d’échanges constructifs, de réflexion intellectuelle, et d’édification pour les étudiants visant surtout à encadrer et à encourager les étudiants à développer quelques compétences indispensables dans leur brillante carrière.
(AIP)
nam/tm
Ces cadets de l’INP-HB ont surclassé leurs concurrents, également d'un assez bon niveau. Salé et Myriam ont surtout su par leur éloquence, maîtriser leur pensée dans l’action et su émouvoir et persuader le public.
Salé Stéphane Ehui, meilleur orateur en anglais et Myriam Bamba du groupe « Bio Géniaux » meilleure oratrice en français ont tout simplement séduit l’assistance de leur talent naissant et déclarés à juste titre vainqueurs par le jury.
Ces "fleurs d’éloquence" ont reçu les félicitations de Docteur Richard Bayala, enseignant chercheur au département de langue et sciences humaines à l’INP-HB et promoteur de la Flamme linguistique. Il s’est satisfait surtout de voir de beaux discours tenus par ses étudiants qui ont pris le temps pendant six mois qu’ont duré les compétitions, d’apprendre, de se remettre en cause, et de mettre en question beaucoup d’éléments qu’ils ne maîtrisaient pas.
Parrainée par l’ambassade de France en Côte d'Ivoire, la première édition de la flamme linguistique a porté sur deux thèmes à savoir « la lutte contre la déforestation forestière » pour les orateurs en français, et « l’immigration illégale », pour les orateurs en anglais.
Huit équipes dont quatre en anglais et quatre en français ont été retenues pour la finale, sur 34 équipes en français et 18 équipes en anglais qui ont pris part aux phases éliminatoires de cette première édition dont le lancement a eu lieu en janvier.
Le public a eu droit à de belles prestations avec des candidats désormais matures, en plus de la projection de la pièce « Sauvons le Cavally », une belle pièce de théâtre écrite par le metteur en scène Luis Marques, en collaboration avec la Fondation pour les chimpanzés sauvages (WCF- Wild Chimpanzee Fondation) sur la préservation de la forêt.
La Flamme linguistique a pour objectif d’accompagner les étudiants, de leur donner l’opportunité d’apprendre la rhétorique et l’éloquence. « Nous sommes dans un institut d’excellence, on ne se limite pas qu’au mathématique à la physique chimique et à la biologie, pour le faire, il faut également est très bon en anglais et en français », a souligné Dr Bayala.
"Pour lui, il s’agit de donner aux étudiants ce qu’il faut, notamment les outils linguistiques, afin qu’ils soient compétitifs sur le marché", a affirmé ce spécialiste en orthographe et grammaire, qui a encouragé les étudiants à s’intéresser à la Flamme linguistique pour mieux affronter le monde de l’emploi.
Richard Bayala a lancé un appel à l’aide et particulièrement à la direction de l’INPHB, afin de les appuyer "pour que le concours débuté par une étincelle devienne une véritable flamme". « Parce que le concours, nous le voulons comme le FEMUA dans quelques années", a souhaité le professeur de langues.
La « flamme linguistique » est un concours interne de langue française. Elle se veut une plate-forme d’échanges constructifs, de réflexion intellectuelle, et d’édification pour les étudiants visant surtout à encadrer et à encourager les étudiants à développer quelques compétences indispensables dans leur brillante carrière.
(AIP)
nam/tm