Conscient de l’importance de la qualité, pour la profitabilité et l’équilibre de la filière anacarde, et dans le but d’assurer la préservation et l’amélioration de façon durable des noix de Cajou, la Direction Générale du Conseil du Coton et de l’Anacarde a initié en partenariat avec la plateforme de réflexion qui regroupe tous les acteurs provenant des différents niveaux de la chaîne de valeur, une mission de sensibilisation des acteurs de la filière anacarde sur la préservation et l’amélioration de la qualité des Noix de Cajou, dans 8 localités du bassin anacardier, du 29 mai au 2 juin 2018.
L’objectif global de cette mission de terrain était d’informer, de sensibiliser et d’impliquer étroitement les acteurs professionnels de la filière anacarde dans la gestion de la qualité de la noix de cajou. Il s’est agit plus spécifiquement de Sensibiliser les producteurs à commercialiser que des produits bien séchés et bien triés - Sensibiliser les acheteurs et les exportateurs à acheter que des produits bien séchés et bien triés - Sensibiliser tous les acteurs sur la mise en œuvre scrupuleuse des dispositions de la commercialisation, notamment celles liées à la qualité des produits - Informer et sensibiliser l’ensemble des acteurs sur le respect scrupuleux des prix planchers fixés en début de campagne - Attirer l’attention de l’ensemble des acteurs sur l’enjeu que représente la bonne qualité pour un développement durable de la filière anacarde ivoirienne - Donner la bonne information et rassurer les acteurs quant aux dispositions prises pour une bonne campagne de commercialisation – puis enfin Inciter les acteurs et plus largement les populations au civisme, en vue d’un respect scrupuleux des dispositions pratiques de la campagne et des textes légaux en vigueur.
Bouaké, Dabakala, Odienné, Korhogo, Tanda, Bondoukou, Dianra, Séguéla sont les huit localités qui ont accueilli la mission de sensibilisation. Pour chacune des localités, l’équipe était constituée de deux agents du Conseil du Coton et de l’Anacarde et trois autres membres de la plateforme. Dans les différentes localités, les producteurs ont été instruits sur l’intérêt de laisser les pommes de l’anacardier arriver à leur maturité physiologique. Traoré Bassoumori, en charge de la filière anacarde à l’ANADER a déconseillé aux producteurs de secouer les arbres pour accélérer la chute des pommes. Et une fois tombées, les ramasser les 2 jours qui suivent et séparer chaque noix avec une ficelle. Ensuite, bien sécher les noix sur une claie. Après séchage, les laisser refroidir avant de les mettre dans des sacs en jute délivrés par l’organe de régulation. Enfin, stocker les sacs d’anacarde dans un endroit aéré. Nul doute que le producteur fasse une bonne traite s’il respecte toutes ces normes, a rassuré Doumbia Mamdou chargé des Opérations au Conseil Coton Anacarde, lors de l’étape de Bondoukou.
« Le prix d’achat bord champ plancher de 500 francs CFA le kilogramme reste intact et non négociable », a rappelé, à Tanda, Berté Mamandou. Le Directeur général adjoint de l’organe de régulation qui a appelé à la responsabilité des producteurs en évitant de brader leurs noix de cajou. « Évitez de vendre vos produits en dessous de 500 francs CFA ! », a insisté le chargé de la commercialisation intérieure du cajou, Zoroh Bi Jean-Christophe. Qui a insisté sur le fait que la campagne ne souffre d’aucun arrêt complet des achats de stocks de noix brutes. Mais « juste un ralentissement ». Il a rassuré sur à une accélération de la cadence des opérations dans quelques semaines. « Évitez de vendre vos produits en dessous de 500 francs CFA ! », a insisté le chargé de la commercialisation intérieure du cajou, Zoroh Bi Jean-Christophe. Pour lui, la campagne ne souffre pas d’un arrêt complet des achats de stocks de noix brutes. Mais « juste un ralentissement ». Zoroh Bi a rassuré quant à une accélération de la cadence des opérations dans quelques semaines. Les membres de la délégation du CCA dans le Gbêkê et le Hambol ont terminé leur mission par une visite à l’usine de transformation de noix de cajou de l’Organisation des femmes pour le développement de Dabakala (OFED).
Elisée B.
L’objectif global de cette mission de terrain était d’informer, de sensibiliser et d’impliquer étroitement les acteurs professionnels de la filière anacarde dans la gestion de la qualité de la noix de cajou. Il s’est agit plus spécifiquement de Sensibiliser les producteurs à commercialiser que des produits bien séchés et bien triés - Sensibiliser les acheteurs et les exportateurs à acheter que des produits bien séchés et bien triés - Sensibiliser tous les acteurs sur la mise en œuvre scrupuleuse des dispositions de la commercialisation, notamment celles liées à la qualité des produits - Informer et sensibiliser l’ensemble des acteurs sur le respect scrupuleux des prix planchers fixés en début de campagne - Attirer l’attention de l’ensemble des acteurs sur l’enjeu que représente la bonne qualité pour un développement durable de la filière anacarde ivoirienne - Donner la bonne information et rassurer les acteurs quant aux dispositions prises pour une bonne campagne de commercialisation – puis enfin Inciter les acteurs et plus largement les populations au civisme, en vue d’un respect scrupuleux des dispositions pratiques de la campagne et des textes légaux en vigueur.
Bouaké, Dabakala, Odienné, Korhogo, Tanda, Bondoukou, Dianra, Séguéla sont les huit localités qui ont accueilli la mission de sensibilisation. Pour chacune des localités, l’équipe était constituée de deux agents du Conseil du Coton et de l’Anacarde et trois autres membres de la plateforme. Dans les différentes localités, les producteurs ont été instruits sur l’intérêt de laisser les pommes de l’anacardier arriver à leur maturité physiologique. Traoré Bassoumori, en charge de la filière anacarde à l’ANADER a déconseillé aux producteurs de secouer les arbres pour accélérer la chute des pommes. Et une fois tombées, les ramasser les 2 jours qui suivent et séparer chaque noix avec une ficelle. Ensuite, bien sécher les noix sur une claie. Après séchage, les laisser refroidir avant de les mettre dans des sacs en jute délivrés par l’organe de régulation. Enfin, stocker les sacs d’anacarde dans un endroit aéré. Nul doute que le producteur fasse une bonne traite s’il respecte toutes ces normes, a rassuré Doumbia Mamdou chargé des Opérations au Conseil Coton Anacarde, lors de l’étape de Bondoukou.
« Le prix d’achat bord champ plancher de 500 francs CFA le kilogramme reste intact et non négociable », a rappelé, à Tanda, Berté Mamandou. Le Directeur général adjoint de l’organe de régulation qui a appelé à la responsabilité des producteurs en évitant de brader leurs noix de cajou. « Évitez de vendre vos produits en dessous de 500 francs CFA ! », a insisté le chargé de la commercialisation intérieure du cajou, Zoroh Bi Jean-Christophe. Qui a insisté sur le fait que la campagne ne souffre d’aucun arrêt complet des achats de stocks de noix brutes. Mais « juste un ralentissement ». Il a rassuré sur à une accélération de la cadence des opérations dans quelques semaines. « Évitez de vendre vos produits en dessous de 500 francs CFA ! », a insisté le chargé de la commercialisation intérieure du cajou, Zoroh Bi Jean-Christophe. Pour lui, la campagne ne souffre pas d’un arrêt complet des achats de stocks de noix brutes. Mais « juste un ralentissement ». Zoroh Bi a rassuré quant à une accélération de la cadence des opérations dans quelques semaines. Les membres de la délégation du CCA dans le Gbêkê et le Hambol ont terminé leur mission par une visite à l’usine de transformation de noix de cajou de l’Organisation des femmes pour le développement de Dabakala (OFED).
Elisée B.