Abidjan- (Côte d’Ivoire) - Le coupé-décalé a fait naître plusieurs fléaux, a estimé, mardi à Abidjan, l’écrivain Daouda Malick Koné, lors de la présentation au grand public de son ouvrage sur ce genre musical ivoirien.
Daouda Malick Koné, natif de Bouaké (Centre ivoirien) présente sa deuxième publication «Coupé-décalé - réception et interprétation par les adolescents scolarisés d’Abidjan : étude de cas dans 3 établissements secondaires », parue aux Editions Edilivre à Saint Denis en France, comme « une œuvre scientifique» s’inscrivant dans la catégorie des arts du spectacle.
Selon M. Koné, titulaire d’une Maitrise en information, communication et arts, spécialité audiovisuelle et animation Radio-Télévision, ce concept lancé au lendemain de la crise de 2002 qu’a connue la Côte d’Ivoire qui a divisé, par la suite le pays en deux parties « a fait naître plusieurs fléaux».
Il cite entre autres l’apparition du phénomène des «enfants en conflits avec la loi» ou «microbes» qui «veulent paraître alors que les parents sont pauvres », « l’homosexualité, les mauvaises habitudes vestimentaires chez les jeunes et la cybercriminalité ».
« C’est un livre à charges et qui donne également des conseils », a expliqué l’auteur par ailleurs Assistant en communication à la Société ivoirienne de construction et de gestion immobilière (SICOGI-entreprise à capitaux publics), soulignant toutefois que le coupé-décalé fait partie du patrimoine culturel ivoirien.
Daouda Malick Koné a expliqué devant un auditoire composé de professionnels, de passionnés du livre et de connaissances que ce thème a été « choisi pour sensibiliser la jeunesse de Côte d’Ivoire ». A son avis, les artistes ont le devoir de bon message.
Le Directeur général de la SICOGI, Bouaké Fofana, présent aux côtés de son collaborateur l’a encouragé dans un contexte où l’on note un désintéressent général pour l’écriture et le livre.
« J’ai apprécié le contenu », a félicité le Directeur général de la SICOGI, invitant la jeunesse plus précisément les élèves et étudiants à la lecture, à l’application.
Le coupé-décalé est un genre musical ivoirien créé par des jeunes ivoiriens qui vivaient en Europe avec pour leader Stéphane Doukouré dit Douk Saga.
Auparavant, Daouda Malick Koné avait à travers une œuvre fait une incursion au sein de la «puissante» Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) à travers le titre « balafres sur le cœur : FESCI, chronique d’une nébuleuse ».
SY/ls
Daouda Malick Koné, natif de Bouaké (Centre ivoirien) présente sa deuxième publication «Coupé-décalé - réception et interprétation par les adolescents scolarisés d’Abidjan : étude de cas dans 3 établissements secondaires », parue aux Editions Edilivre à Saint Denis en France, comme « une œuvre scientifique» s’inscrivant dans la catégorie des arts du spectacle.
Selon M. Koné, titulaire d’une Maitrise en information, communication et arts, spécialité audiovisuelle et animation Radio-Télévision, ce concept lancé au lendemain de la crise de 2002 qu’a connue la Côte d’Ivoire qui a divisé, par la suite le pays en deux parties « a fait naître plusieurs fléaux».
Il cite entre autres l’apparition du phénomène des «enfants en conflits avec la loi» ou «microbes» qui «veulent paraître alors que les parents sont pauvres », « l’homosexualité, les mauvaises habitudes vestimentaires chez les jeunes et la cybercriminalité ».
« C’est un livre à charges et qui donne également des conseils », a expliqué l’auteur par ailleurs Assistant en communication à la Société ivoirienne de construction et de gestion immobilière (SICOGI-entreprise à capitaux publics), soulignant toutefois que le coupé-décalé fait partie du patrimoine culturel ivoirien.
Daouda Malick Koné a expliqué devant un auditoire composé de professionnels, de passionnés du livre et de connaissances que ce thème a été « choisi pour sensibiliser la jeunesse de Côte d’Ivoire ». A son avis, les artistes ont le devoir de bon message.
Le Directeur général de la SICOGI, Bouaké Fofana, présent aux côtés de son collaborateur l’a encouragé dans un contexte où l’on note un désintéressent général pour l’écriture et le livre.
« J’ai apprécié le contenu », a félicité le Directeur général de la SICOGI, invitant la jeunesse plus précisément les élèves et étudiants à la lecture, à l’application.
Le coupé-décalé est un genre musical ivoirien créé par des jeunes ivoiriens qui vivaient en Europe avec pour leader Stéphane Doukouré dit Douk Saga.
Auparavant, Daouda Malick Koné avait à travers une œuvre fait une incursion au sein de la «puissante» Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) à travers le titre « balafres sur le cœur : FESCI, chronique d’une nébuleuse ».
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