Abidjan- La province italienne de Massa Carrara (Carrare), en Toscane, a ouvert, samedi, son Festival du marbre, l’un des matériaux les plus précieux et recherchés au monde pour la sculpture depuis Michael Ange jusqu’aux artistes contemporains et architectes qui en font l’une des plus belles pièces de décoration.
Le festival permet au visiteur de découvrir le processus de sa production de l’exploitation à la finition sous les mains expertes d’artistes imprégnés de son usage depuis des centenaires.
En Côte d’Ivoire, le premier président, Félix Houphouët-Boigny, en était si féru que ses grandes réalisations dont la cathédrale Jean Paul II d’Abidjan-Plateau, la basilique Notre Dame de la Paix et la Fondation FHB pour la recherche de la paix de Yamoussoukro et ses résidences en portent la noble marque et gravure.
De Michel-Ange aux artistes sculpteurs contemporains en passant par les œuvres des architectes les plus ingénieux du monde entier, le marbre de Carrare, fait et continue d’entretenir la renommée de la délicatesse et du raffinement de la culture italienne marquée du sceau de farniente et de Dolce vita.
Professeur à l’université de Montpellier III Paul Valery, Danilo Faggioni, avait prononcé, en février 2017, une conférence à la galerie de la Rotonde des arts contemporains au cours de laquelle il en avait représenté la place centrale et incontournable dans la vie des populations, les méthodes d’extraction, de l’époque romaine à nos jours et son usage dans la décoration des maisons, des façades des plus prestigieux édifices et l’embellissement des villes et cités à travers des monuments et œuvres artistiques suscitant les plus intenses émotions visuelles.
« Le marbre a laissé une trace tangible de la civilisation humaine, un patrimoine unique encore vivant aujourd’hui, une matière parfaite et irremplaçable en architecture. La cité de Carrare est spécialisée dans les produits taillés sur mesure de dalles coupées et polies aux dimensions requises parce que le marbre, ce n’est pas seulement sa beauté mais un ensemble de techniques qui requièrent une sensibilité particulière », avait témoigné Danillo Faggioni.
aaa/cmas
Le festival permet au visiteur de découvrir le processus de sa production de l’exploitation à la finition sous les mains expertes d’artistes imprégnés de son usage depuis des centenaires.
En Côte d’Ivoire, le premier président, Félix Houphouët-Boigny, en était si féru que ses grandes réalisations dont la cathédrale Jean Paul II d’Abidjan-Plateau, la basilique Notre Dame de la Paix et la Fondation FHB pour la recherche de la paix de Yamoussoukro et ses résidences en portent la noble marque et gravure.
De Michel-Ange aux artistes sculpteurs contemporains en passant par les œuvres des architectes les plus ingénieux du monde entier, le marbre de Carrare, fait et continue d’entretenir la renommée de la délicatesse et du raffinement de la culture italienne marquée du sceau de farniente et de Dolce vita.
Professeur à l’université de Montpellier III Paul Valery, Danilo Faggioni, avait prononcé, en février 2017, une conférence à la galerie de la Rotonde des arts contemporains au cours de laquelle il en avait représenté la place centrale et incontournable dans la vie des populations, les méthodes d’extraction, de l’époque romaine à nos jours et son usage dans la décoration des maisons, des façades des plus prestigieux édifices et l’embellissement des villes et cités à travers des monuments et œuvres artistiques suscitant les plus intenses émotions visuelles.
« Le marbre a laissé une trace tangible de la civilisation humaine, un patrimoine unique encore vivant aujourd’hui, une matière parfaite et irremplaçable en architecture. La cité de Carrare est spécialisée dans les produits taillés sur mesure de dalles coupées et polies aux dimensions requises parce que le marbre, ce n’est pas seulement sa beauté mais un ensemble de techniques qui requièrent une sensibilité particulière », avait témoigné Danillo Faggioni.
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