La fédération des Unions des Coopératives des Producteurs de la Filière Coton de Côte d’Ivoire ( FPC-CI coop ca ) a tenu le 26 Juin 2018 son Assemblée Générale ordinaire de l’exercice 2017-2018. C’était à la salle de réunion de l’union régionale des entreprises coopératives . SA située à korhogo dans le nord de la Côte d’Ivoire.
L’équipe dirigeante de la structure cotonnière a eu, à l’unanimité, le quitus de l’ensemble des délégués de poursuivre son programme d’actions au cours des trois prochaines années. Ce, en présence de Mme Soulama, représentante du directeur régional de l’agriculture du poro, et de Dagnogo Adama, représentant de la délégation régionale du conseil-coton anacarde du poro et des structures du milieu agricole.
Cette confiance renouvelée est la conséquence du brillant exposé sur le bilan des activités 2017-2018 présenté par de Silué Kassim et Yéo Largaton respectivement directeur général et président du conseil d’administration.
Le conseil de surveillance, satisfait de ce travail remarquable, a félicité et encouragé le conseil d’administration et la direction générale de la fédération nationale cotonnière à poursuivre ses actions dans cette dynamique.
Le remboursement des 4.5 FCFA des sociétés cotonnières aux unions de coopératives et celui des 21F CFA, promesse de l’Etat non tenue, a retenu l’attention des participants. Le DG Silué Kassim et le PCA Yéo Largaton, a ce propos, ont été plus rassurants. Ils ont donc exhorté les délégués à relayer dans leurs bases respectives les informations émanant de la tutelle. « Sur les 4. 5 FCFA il n y a pas de problème. C’est vrai, deux sociétés cotonnières notamment la CIDT et la SICOSA 2.0 n’ont pas encore payé. Mais pour celles qui se sont acquittées de leurs dettes, cet argent est disponible et mis sous forme de DAT. Des unions de coopératives en ont bénéficié pour le financement de leurs projets de développement. C’est vrai qu’on continue d’attendre encore plus de 100 millions FCFA mais des pourparlers sont toujours en cours avec ces sociétés cotonnières qui restent nous devoir …».
Relativement aux 21 FCFA, promesse de l’Etat ivoirien non tenue, Silué Kassim et Yéo Largaton ont été sans détour. « C’est vrai, ça été une promesse de l’Etat, mais en réalité cet argent est mis dans le fonds de lissage qui permet de lisser les prix d’achat du coton graine bord champs. Ce fonds de lissage sert à lisser les prix d’achat du coton graine quand ils chutent à cause des fluctuations et d’instabilité dans le cas ou la campagne agricole n’est pas bonne à cause des facteurs imprévisibles ou aux aléas du changement climatique. Ce fonds de lissage permet de compenser ces prix d’achat bord champs fixés par le mécanisme de fixation de prix pour une stabilité afin de ne pas décourager le cotonculteur.
Pour la campagne commerciale 2018-2019, les cotonculteurs sont déjà informés des prix d’achat bord champs, 265 FCFA/KG 1er choix et 245 FCFA/KG 2e choix avant d’aller dans les champs ». Ce qui, du reste, n’est pas du goût de certains délégués d’unions de coopératives cotonnières. .
Aly O (Une correspondance particulière)
L’équipe dirigeante de la structure cotonnière a eu, à l’unanimité, le quitus de l’ensemble des délégués de poursuivre son programme d’actions au cours des trois prochaines années. Ce, en présence de Mme Soulama, représentante du directeur régional de l’agriculture du poro, et de Dagnogo Adama, représentant de la délégation régionale du conseil-coton anacarde du poro et des structures du milieu agricole.
Cette confiance renouvelée est la conséquence du brillant exposé sur le bilan des activités 2017-2018 présenté par de Silué Kassim et Yéo Largaton respectivement directeur général et président du conseil d’administration.
Le conseil de surveillance, satisfait de ce travail remarquable, a félicité et encouragé le conseil d’administration et la direction générale de la fédération nationale cotonnière à poursuivre ses actions dans cette dynamique.
Le remboursement des 4.5 FCFA des sociétés cotonnières aux unions de coopératives et celui des 21F CFA, promesse de l’Etat non tenue, a retenu l’attention des participants. Le DG Silué Kassim et le PCA Yéo Largaton, a ce propos, ont été plus rassurants. Ils ont donc exhorté les délégués à relayer dans leurs bases respectives les informations émanant de la tutelle. « Sur les 4. 5 FCFA il n y a pas de problème. C’est vrai, deux sociétés cotonnières notamment la CIDT et la SICOSA 2.0 n’ont pas encore payé. Mais pour celles qui se sont acquittées de leurs dettes, cet argent est disponible et mis sous forme de DAT. Des unions de coopératives en ont bénéficié pour le financement de leurs projets de développement. C’est vrai qu’on continue d’attendre encore plus de 100 millions FCFA mais des pourparlers sont toujours en cours avec ces sociétés cotonnières qui restent nous devoir …».
Relativement aux 21 FCFA, promesse de l’Etat ivoirien non tenue, Silué Kassim et Yéo Largaton ont été sans détour. « C’est vrai, ça été une promesse de l’Etat, mais en réalité cet argent est mis dans le fonds de lissage qui permet de lisser les prix d’achat du coton graine bord champs. Ce fonds de lissage sert à lisser les prix d’achat du coton graine quand ils chutent à cause des fluctuations et d’instabilité dans le cas ou la campagne agricole n’est pas bonne à cause des facteurs imprévisibles ou aux aléas du changement climatique. Ce fonds de lissage permet de compenser ces prix d’achat bord champs fixés par le mécanisme de fixation de prix pour une stabilité afin de ne pas décourager le cotonculteur.
Pour la campagne commerciale 2018-2019, les cotonculteurs sont déjà informés des prix d’achat bord champs, 265 FCFA/KG 1er choix et 245 FCFA/KG 2e choix avant d’aller dans les champs ». Ce qui, du reste, n’est pas du goût de certains délégués d’unions de coopératives cotonnières. .
Aly O (Une correspondance particulière)