Le ministre d’État Hamed Bakayoko, candidat déclaré pour les municipales 2018 à Abobo, a rencontré les ressortissants de la région du Woroba (sa région d’origine), résidant dans ladite commune, le mercredi 11 juillet 2018 au Centre Culturel d’Abobo.
Une rencontre qu’il a initiée afin d’obtenir la bénédiction de ceux-ci, dans la course à la Mairie. Le ministre-candidat a expliqué à “ses parents“, toute l’importance qu’il accorde à la rencontre. « Avant de commencer à faire les premiers pas à Abobo, il faut avoir la bonne direction. Pour avoir la bonne direction, il faut la bénédiction des imams. C’est la bénédiction divine spirituelle, la relation avec Dieu. Après cela, il faut aller avoir la bénédiction des chefs de terre. C’est dans ce cadre que nous étions avec les chefs Tchaman hier (le mardi 10 juillet 2018, à Abobo-Baoulé). Ils nous ont fait des prières et des bénédictions et nous ont dit qu’ils comptent sur nous pour les aider à transformer Abobo. Aujourd’hui, nous sommes avec vous, la communauté du Woroba. Vous mes parents, pour avoir votre bénédiction. Je vous remercie de nous avoir donné la route afin de poursuivre le chemin », a-t-il lancé, après les nombreuses bénédictions dont il a été l’objet de la part des guides religieux membres de la délégation du Woroba. Il en a profité pour leur donner un aperçu de la suite de ses concertations. À savoir, des rencontres avec d’autres communautés dont « des chefs religieux de l’Église catholique de la commune, les pasteurs. Abobo est un État dans l’État. Abobo, c’est la Cedeao en miniature. Je suis content que vous me receviez ainsi. Je sens dans vos visages que vous êtes vraiment contents que je vienne à Abobo».
Poursuivant, Hamed Bakayoko a dit : « Je ne suis pas né à Abobo, mais je viens faire quelque chose pour cette commune. Tous ces jeunes ont besoin de sortir du chômage. C’est le moment de donner aux femmes, jeunes d’Abobo ce qui leur revient ».
TAB avec GK
Une rencontre qu’il a initiée afin d’obtenir la bénédiction de ceux-ci, dans la course à la Mairie. Le ministre-candidat a expliqué à “ses parents“, toute l’importance qu’il accorde à la rencontre. « Avant de commencer à faire les premiers pas à Abobo, il faut avoir la bonne direction. Pour avoir la bonne direction, il faut la bénédiction des imams. C’est la bénédiction divine spirituelle, la relation avec Dieu. Après cela, il faut aller avoir la bénédiction des chefs de terre. C’est dans ce cadre que nous étions avec les chefs Tchaman hier (le mardi 10 juillet 2018, à Abobo-Baoulé). Ils nous ont fait des prières et des bénédictions et nous ont dit qu’ils comptent sur nous pour les aider à transformer Abobo. Aujourd’hui, nous sommes avec vous, la communauté du Woroba. Vous mes parents, pour avoir votre bénédiction. Je vous remercie de nous avoir donné la route afin de poursuivre le chemin », a-t-il lancé, après les nombreuses bénédictions dont il a été l’objet de la part des guides religieux membres de la délégation du Woroba. Il en a profité pour leur donner un aperçu de la suite de ses concertations. À savoir, des rencontres avec d’autres communautés dont « des chefs religieux de l’Église catholique de la commune, les pasteurs. Abobo est un État dans l’État. Abobo, c’est la Cedeao en miniature. Je suis content que vous me receviez ainsi. Je sens dans vos visages que vous êtes vraiment contents que je vienne à Abobo».
Poursuivant, Hamed Bakayoko a dit : « Je ne suis pas né à Abobo, mais je viens faire quelque chose pour cette commune. Tous ces jeunes ont besoin de sortir du chômage. C’est le moment de donner aux femmes, jeunes d’Abobo ce qui leur revient ».
TAB avec GK