Ex-Commandant supérieur de la gendarmerie nationale sous le régime de Laurent Gbagbo, le général à la retraite, Édouard Kassaraté, est décédé, vendredi, à Abidjan des suites d’un « malaise cardio-vasculaire » à l’âge de 68 ans, annoncent plusieurs sources.
Selon des sources sécuritaires, l’ancien Commandant supérieur de la gendarmerie nationale, « évacué dans une polyclinique abidjanaise, a succombé au malaise cardio-vasculaire qui l’avait terrassé quelques heures plus tôt ».
D’autres sources proches de la famille précisent que le général Kassaraté nommé ambassadeur au Sénégal (2011-2017) par le président Ouattara après la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011, a « rendu l’ âme à la polyclinique Danga à Cocody suite à un arrêt cardiaque ».
A la fin de sa mission d’Ambassadeur au Sénégal, désormais « libre » des obligations tant militaires que diplomatiques, le général Kassaraté s’était, ouvertement, engagé politiquement avec le Parti démocratique de Côte d’Ivoire ( PDCI) d’Henri Konan Bédié qui l’a nommé début janvier 2018, Vice-président de son parti.
Formé dans la prestigieuse école militaire de Saint-Cyr en France, le général Kassaraté a occupé de hautes fonctions dans la grande muette ivoirienne, notamment au sein de la gendarmerie ivoirienne.
Ainsi, il a été, entre-autres, ex-commandant du peloton de gendarmerie de Dimbokro (Centre), ex-commandant de l’escadron blindé de la gendarmerie ivoirienne, ex-commandant militaire du palais présidentiel avant d’occuper le poste de commandant supérieur de la gendarmerie ivoirienne de 2005 jusqu’à la fin de la crise postélectorale de 2011.
Il a été l’un des officiers supérieurs ivoiriens avec les généraux Philippe Mangou, Brédou M’Bia et Guiai Bi Poin à témoigner à la Cour pénale internationale ( CPI) dans le procès de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo et son ancien ministre de la jeunesse Charles Blé Goudé.
LB-HS/ls/APA
Selon des sources sécuritaires, l’ancien Commandant supérieur de la gendarmerie nationale, « évacué dans une polyclinique abidjanaise, a succombé au malaise cardio-vasculaire qui l’avait terrassé quelques heures plus tôt ».
D’autres sources proches de la famille précisent que le général Kassaraté nommé ambassadeur au Sénégal (2011-2017) par le président Ouattara après la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011, a « rendu l’ âme à la polyclinique Danga à Cocody suite à un arrêt cardiaque ».
A la fin de sa mission d’Ambassadeur au Sénégal, désormais « libre » des obligations tant militaires que diplomatiques, le général Kassaraté s’était, ouvertement, engagé politiquement avec le Parti démocratique de Côte d’Ivoire ( PDCI) d’Henri Konan Bédié qui l’a nommé début janvier 2018, Vice-président de son parti.
Formé dans la prestigieuse école militaire de Saint-Cyr en France, le général Kassaraté a occupé de hautes fonctions dans la grande muette ivoirienne, notamment au sein de la gendarmerie ivoirienne.
Ainsi, il a été, entre-autres, ex-commandant du peloton de gendarmerie de Dimbokro (Centre), ex-commandant de l’escadron blindé de la gendarmerie ivoirienne, ex-commandant militaire du palais présidentiel avant d’occuper le poste de commandant supérieur de la gendarmerie ivoirienne de 2005 jusqu’à la fin de la crise postélectorale de 2011.
Il a été l’un des officiers supérieurs ivoiriens avec les généraux Philippe Mangou, Brédou M’Bia et Guiai Bi Poin à témoigner à la Cour pénale internationale ( CPI) dans le procès de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo et son ancien ministre de la jeunesse Charles Blé Goudé.
LB-HS/ls/APA