Le faible taux de recouvrement du Fonds d’aide aux femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI) a été dénoncé par les responsables du réseau de la Coopérative d’épargne et de crédit (COOPEC) de Daloa dont l’agence de Séguéla fait partie.
"Nos mamans ont bénéficié de ce fonds pour pouvoir mener des activités génératrices de revenus (AGR). Malheureusement, elles ne remboursent pas comme il se doit. Elles le font à compte-gouttes", a déclaré le président du conseil d’administration (PCA), Camara Mamery, à l’issue d’une rencontre statutaire mensuelle tenue samedi pour s’enquérir de la situation de la structure.
Il a annoncé avoir eu des échanges avec quelques autorités locales dont le premier adjoint au maire, le commissaire de police et le commandant de la brigade de gendarmerie, pour une stratégie efficiente de récupération de l’argent.
Au total, la somme de 200 millions de francs CFA avait été octroyée aux femmes à Séguéla dont près du quart reste encore à recouvrer.
Mis en place par la Première dame, Dominique Ouattara, le FAFCI a, entre autres, pour objectifs de permettre à la gent féminine d’accéder à des ressources financières à crédit, au taux réduit d’un pour cent par mois, en vue de créer ou de renforcer leurs activités, de former et de sensibiliser celles-ci sur la gestion des AGR grâce à l’implication des systèmes financiers décentralisés, note-t-on.
"Nous lançons un appel aux autorités politiques, administratives, aux filles et fils de Séguéla, aux cadres pour nous appuyer dans le recouvrement de cet argent, parce que c’est à travers le crédit que nous pouvons avancer", a exhorté Camara Mamery qui a fait savoir que la difficulté est similaire pour le fonds à destination des jeunes.
Avant Séguéla, la délégation venue de Daloa s’est rendue à Kani et à Vavoua où la situation est semblable.
Institution de microfinance à caractère mutualiste qui offre des services financiers dont les activités d’épargne, de crédit, de transfert d'argent, de micro-assurance et de virement de salaire, le réseau de la COOPEC de Daloa regroupe désormais les agences de Kani, Vavoua, Issia, Zoukougbeu, Saïoua, Séguéla et Daloa.
(AIP)
Kkp/kp
"Nos mamans ont bénéficié de ce fonds pour pouvoir mener des activités génératrices de revenus (AGR). Malheureusement, elles ne remboursent pas comme il se doit. Elles le font à compte-gouttes", a déclaré le président du conseil d’administration (PCA), Camara Mamery, à l’issue d’une rencontre statutaire mensuelle tenue samedi pour s’enquérir de la situation de la structure.
Il a annoncé avoir eu des échanges avec quelques autorités locales dont le premier adjoint au maire, le commissaire de police et le commandant de la brigade de gendarmerie, pour une stratégie efficiente de récupération de l’argent.
Au total, la somme de 200 millions de francs CFA avait été octroyée aux femmes à Séguéla dont près du quart reste encore à recouvrer.
Mis en place par la Première dame, Dominique Ouattara, le FAFCI a, entre autres, pour objectifs de permettre à la gent féminine d’accéder à des ressources financières à crédit, au taux réduit d’un pour cent par mois, en vue de créer ou de renforcer leurs activités, de former et de sensibiliser celles-ci sur la gestion des AGR grâce à l’implication des systèmes financiers décentralisés, note-t-on.
"Nous lançons un appel aux autorités politiques, administratives, aux filles et fils de Séguéla, aux cadres pour nous appuyer dans le recouvrement de cet argent, parce que c’est à travers le crédit que nous pouvons avancer", a exhorté Camara Mamery qui a fait savoir que la difficulté est similaire pour le fonds à destination des jeunes.
Avant Séguéla, la délégation venue de Daloa s’est rendue à Kani et à Vavoua où la situation est semblable.
Institution de microfinance à caractère mutualiste qui offre des services financiers dont les activités d’épargne, de crédit, de transfert d'argent, de micro-assurance et de virement de salaire, le réseau de la COOPEC de Daloa regroupe désormais les agences de Kani, Vavoua, Issia, Zoukougbeu, Saïoua, Séguéla et Daloa.
(AIP)
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