Les femmes et les jeunes ont toujours été au cœur des préoccupations du gouverneur Beugré Mambé. Cette inclination du patron d’Abidjan s’est une nouvelle fois vérifiée, lundi 20 août, dans la sous-préfecture de Brofodoumé, située à un jet de pierre de la capitale économique de la Côte d’Ivoire, route d’Alépé.
C’est ainsi qu’à l’invitation du ministre des VIIIes jeux, une délégation de la Banque africaine de développement (Bad), conduite par M. Jean-Noël Ilboudo, chef de division régionale du Bureau de développement et prestations de services de l’Afrique de l’Ouest (RDGW), division secteur privé, infrastructures et industrialisation (RDGW3), accompagné de M. Amon Koffi du Projet transport urbain d’Abidjan (PTUA), s’est rendue dans cette localité.
L’objectif de cette invitation, permettre à la Bad non seulement de toucher du doigt, un certain nombre de projets de création de richesses réalisés par le district d’Abidjan en faveur des femmes et des jeunes, pour leur permettre de sortir de la précarité, mais aussi et surtout inciter cette institution bancaire à pourvoir de l’aide à cette frange de la population, afin qu’elle se réalise.
Avant la visite proprement dite sur le terrain, la vice-gouverneur Tié Bi, qui a accueilli les hôtes de marque, et aux côtés de qui se trouvaient Madame le Sous-Préfet de Brofodoumé, Niamkey Sylvie, le directeur de cabinet adjoint du district d’Abidjan, M. Mathieu Touré, les conseillers techniques Kopieu et Djama Dubois, a souhaité la bienvenue à la délégation et a dit espérer que la Bad aide les femmes et les jeunes de Brofodoumé à exercer des activités génératrices de revenus et créatrice de richesses.
Pour sa part, le conseiller Djama Dubois n’a pas dit autre chose qui a prié pour que la Banque apporte son assistance aux femmes et aux jeunes de Brofodoumé. Une telle action leur offrira, a-t-il dit, l’opportunité de non seulement se sédentariser, mais surtout quitter l’état végétatif et échapper aux fléaux comme la prostitution, la drogue, etc.
Quant à Madame le Sous-Préfet Niamkey, elle a abondé dans le même sens, mais a tenu à s’informer sur le PTUA. Ce projet, au dire de M. Amon Koffi, a pour objectif principal, la mobilité et fluidité au niveau du district d’Abidjan.
A son tour, prenant la parole, M. Ilboudo a dit que la Bad a accepté de répondre à l’invitation du district d’Abidjan, pour se convaincre de la pertinence des actions sociales de cette institution à Brofodoumé. Il a informé ses hôtes que la Banque a une politique de soutien aux activités génératrices de revenus. Cette politique est surtout déployée en direction des femmes.
Déjà, celles installées sur le tracé du 4e pont et qui devront s’en aller, bénéficient de l’aide pour se réinstaller. Il en va de même pour les 600 femmes de l’Unité de régulation de la circulation (URC) de la Police nationale. Elles ont bénéficié, a révélé le chef de division régionale de la Bad, d’une enveloppe de 3 milliards de FCFA servant à l’achat d’équipement, aux fins de faciliter leur travail de régulation de la circulation.
Peu après les échanges, les hôtes du district d’Abidjan ont été conduits à visiter, successivement, une unité de production de poussins, une ferme avicole, une pisciculture et l’usine de fabrication d’attiéké des femmes de Brofodoumé.
DIRCOM
C’est ainsi qu’à l’invitation du ministre des VIIIes jeux, une délégation de la Banque africaine de développement (Bad), conduite par M. Jean-Noël Ilboudo, chef de division régionale du Bureau de développement et prestations de services de l’Afrique de l’Ouest (RDGW), division secteur privé, infrastructures et industrialisation (RDGW3), accompagné de M. Amon Koffi du Projet transport urbain d’Abidjan (PTUA), s’est rendue dans cette localité.
L’objectif de cette invitation, permettre à la Bad non seulement de toucher du doigt, un certain nombre de projets de création de richesses réalisés par le district d’Abidjan en faveur des femmes et des jeunes, pour leur permettre de sortir de la précarité, mais aussi et surtout inciter cette institution bancaire à pourvoir de l’aide à cette frange de la population, afin qu’elle se réalise.
Avant la visite proprement dite sur le terrain, la vice-gouverneur Tié Bi, qui a accueilli les hôtes de marque, et aux côtés de qui se trouvaient Madame le Sous-Préfet de Brofodoumé, Niamkey Sylvie, le directeur de cabinet adjoint du district d’Abidjan, M. Mathieu Touré, les conseillers techniques Kopieu et Djama Dubois, a souhaité la bienvenue à la délégation et a dit espérer que la Bad aide les femmes et les jeunes de Brofodoumé à exercer des activités génératrices de revenus et créatrice de richesses.
Pour sa part, le conseiller Djama Dubois n’a pas dit autre chose qui a prié pour que la Banque apporte son assistance aux femmes et aux jeunes de Brofodoumé. Une telle action leur offrira, a-t-il dit, l’opportunité de non seulement se sédentariser, mais surtout quitter l’état végétatif et échapper aux fléaux comme la prostitution, la drogue, etc.
Quant à Madame le Sous-Préfet Niamkey, elle a abondé dans le même sens, mais a tenu à s’informer sur le PTUA. Ce projet, au dire de M. Amon Koffi, a pour objectif principal, la mobilité et fluidité au niveau du district d’Abidjan.
A son tour, prenant la parole, M. Ilboudo a dit que la Bad a accepté de répondre à l’invitation du district d’Abidjan, pour se convaincre de la pertinence des actions sociales de cette institution à Brofodoumé. Il a informé ses hôtes que la Banque a une politique de soutien aux activités génératrices de revenus. Cette politique est surtout déployée en direction des femmes.
Déjà, celles installées sur le tracé du 4e pont et qui devront s’en aller, bénéficient de l’aide pour se réinstaller. Il en va de même pour les 600 femmes de l’Unité de régulation de la circulation (URC) de la Police nationale. Elles ont bénéficié, a révélé le chef de division régionale de la Bad, d’une enveloppe de 3 milliards de FCFA servant à l’achat d’équipement, aux fins de faciliter leur travail de régulation de la circulation.
Peu après les échanges, les hôtes du district d’Abidjan ont été conduits à visiter, successivement, une unité de production de poussins, une ferme avicole, une pisciculture et l’usine de fabrication d’attiéké des femmes de Brofodoumé.
DIRCOM