34 migrants en situation de détresse en Algérie ont été rapatriés volontairement dans la nuit du samedi 18 août 2018, à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny, (côté Djeda) par le fruit de la collaboration entre le Ministère de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur (MIAIE) et l’OIM (Organisation internationale pour les migrations), appuyée financièrement par l’UE.
Après avoir sollicité l’aide de l’OIM, et face à leur nombre réduit, c’est par un vol commercial qu’ils ont pu être ramenés de l’Algérie, avec des dispositions particulières d’urgence pour faciliter leur accueil.
Selon le chargé de projets à l’OIM, M. Laurent Guittey, c’est pratiquement les mêmes conditions de précarité et de détresse dans lesquelles ces personnes vivaient en Algérie, à la différence de la Libye, où c’est encore plus crucial. « C’est ce qui a fait que ces personnes n’ont pas hésité à solliciter l’appui de l’OIM pour leur retour volontaire en Côte d’Ivoire », a-t-il indiqué.
Il a poursuivi en expliquant que c’est la même procédure, une fois que les migrants en situation de détresse sollicitent l’appui de l’OIM. L’OIM à son tour adresse la requête à l’ambassade de Côte d’Ivoire du pays concerné, à travers ses services consulaires qui mène les enquêtes pour établir les laisser passer, car la plupart d’entre eux ont égarés leurs pièces d’identité ou les passeports.
L’OIM par la suite achète les billets d’avion pour le retour volontaire de ces migrants. Notons que pour la deuxième fois, en l’espace de dix jours (soit du 9 au 18 août 2018), après le retour de 154 migrants de la Libye, 34 migrants ivoiriens sont secourus de l’Algérie, grâce à la synergie du MIAIE et de l’OIM.
Chapeau à l’Etat de Côte d’Ivoire et à ses partenaires technique et financier qui pour la septième fois, en un an, ont réussi à secourir des femmes, jeunes filles, enfants et jeunes hommes qui n’arrivaient plus joindre les deux bouts, livrés à eux-mêmes dans leur projet de migration clandestine.
JOB
Après avoir sollicité l’aide de l’OIM, et face à leur nombre réduit, c’est par un vol commercial qu’ils ont pu être ramenés de l’Algérie, avec des dispositions particulières d’urgence pour faciliter leur accueil.
Selon le chargé de projets à l’OIM, M. Laurent Guittey, c’est pratiquement les mêmes conditions de précarité et de détresse dans lesquelles ces personnes vivaient en Algérie, à la différence de la Libye, où c’est encore plus crucial. « C’est ce qui a fait que ces personnes n’ont pas hésité à solliciter l’appui de l’OIM pour leur retour volontaire en Côte d’Ivoire », a-t-il indiqué.
Il a poursuivi en expliquant que c’est la même procédure, une fois que les migrants en situation de détresse sollicitent l’appui de l’OIM. L’OIM à son tour adresse la requête à l’ambassade de Côte d’Ivoire du pays concerné, à travers ses services consulaires qui mène les enquêtes pour établir les laisser passer, car la plupart d’entre eux ont égarés leurs pièces d’identité ou les passeports.
L’OIM par la suite achète les billets d’avion pour le retour volontaire de ces migrants. Notons que pour la deuxième fois, en l’espace de dix jours (soit du 9 au 18 août 2018), après le retour de 154 migrants de la Libye, 34 migrants ivoiriens sont secourus de l’Algérie, grâce à la synergie du MIAIE et de l’OIM.
Chapeau à l’Etat de Côte d’Ivoire et à ses partenaires technique et financier qui pour la septième fois, en un an, ont réussi à secourir des femmes, jeunes filles, enfants et jeunes hommes qui n’arrivaient plus joindre les deux bouts, livrés à eux-mêmes dans leur projet de migration clandestine.
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