Du 30 au 31 août 2018, s’est tenu à Abidjan un atelier sur l’avant-projet de loi portant régime juridique de la communication publicitaire sous la Présidence de monsieur Sidi Tiémoko Touré, Ministre de la Communication et des Médias Porte-parole du Gouvernement.
Il s’est agi pour le Ministère de la Communication et des Médias à travers le Conseil Supérieur de la Publicité (CSP) en collaboration avec tous les acteurs du secteur de la communication publicitaire de définir les enjeux de la régulation publicitaire ; éclaircir celles relatives à l’organe de régulation de la communication publicitaire et préciser les sanctions relatives aux manquements ainsi que des dispositions légales.
Ont été conviés à ces travaux des professionnels et acteurs du domaine de la Communication publicitaire.
A l’ouverture de l’atelier, Monsieur ANOMA-KANIE Léandre, Directeur de Cabinet représentant le Ministre Sidi Tiémoko Touré a précisé la vision de l’Etat de Côte d’Ivoire de doter le secteur de la communication publicitaire d’un cadre juridique afin d’en faire un domaine régulé et pourvoyeur d’emplois.
« La régulation de la Communication publicitaire dans notre pays date de 1979. Elle mérite quarante années après, une introspection et une réflexion constructives, pour satisfaire non seulement les orientations nouvelles du Gouvernement, mais également apporter des réponses aux problématiques de notre temps, caractérisées par l’intrusion des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans tous les domaines d’activité et de l’ouverture de l’espace audiovisuel ivoirien », a relevé M. ANOMA-KANIE Léandre.
Après deux jours d’intenses travaux, les participants du secteur ont passé au crible les 106 articles que comporte cet avant-projet de loi. Au sortir de cet atelier, plusieurs recommandations ont été faites. Elles seront soumises au gouvernement.
Le Représentant du Ministre Sidi Tiémoko Touré a félicité le comité scientifique pour les résultats obtenus, le comité d’organisation pour le bon déroulement des travaux et l’ensemble des participants y compris, les partenaires, institutionnels et professionnels privés, pour la pertinence des propositions.
« L’adoption de ce projet de loi va mieux structurer l’espace et stabiliser les domaines d’intervention des différents acteurs » a-t-il conclu.
Il s’est agi pour le Ministère de la Communication et des Médias à travers le Conseil Supérieur de la Publicité (CSP) en collaboration avec tous les acteurs du secteur de la communication publicitaire de définir les enjeux de la régulation publicitaire ; éclaircir celles relatives à l’organe de régulation de la communication publicitaire et préciser les sanctions relatives aux manquements ainsi que des dispositions légales.
Ont été conviés à ces travaux des professionnels et acteurs du domaine de la Communication publicitaire.
A l’ouverture de l’atelier, Monsieur ANOMA-KANIE Léandre, Directeur de Cabinet représentant le Ministre Sidi Tiémoko Touré a précisé la vision de l’Etat de Côte d’Ivoire de doter le secteur de la communication publicitaire d’un cadre juridique afin d’en faire un domaine régulé et pourvoyeur d’emplois.
« La régulation de la Communication publicitaire dans notre pays date de 1979. Elle mérite quarante années après, une introspection et une réflexion constructives, pour satisfaire non seulement les orientations nouvelles du Gouvernement, mais également apporter des réponses aux problématiques de notre temps, caractérisées par l’intrusion des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans tous les domaines d’activité et de l’ouverture de l’espace audiovisuel ivoirien », a relevé M. ANOMA-KANIE Léandre.
Après deux jours d’intenses travaux, les participants du secteur ont passé au crible les 106 articles que comporte cet avant-projet de loi. Au sortir de cet atelier, plusieurs recommandations ont été faites. Elles seront soumises au gouvernement.
Le Représentant du Ministre Sidi Tiémoko Touré a félicité le comité scientifique pour les résultats obtenus, le comité d’organisation pour le bon déroulement des travaux et l’ensemble des participants y compris, les partenaires, institutionnels et professionnels privés, pour la pertinence des propositions.
« L’adoption de ce projet de loi va mieux structurer l’espace et stabiliser les domaines d’intervention des différents acteurs » a-t-il conclu.