Séguéla– Les lampions se sont éteints sur la semaine culturelle de Diobala, à une cinquantaine de kilomètres de Séguéla, marquée par plusieurs activités dont la prestation de danses traditionnelles en voie de disparition, la récompense des meilleurs élèves ainsi que des pionniers du développement, et un sketch sur l’importance des extraits de naissance.
Tour à tour, le Dagbê, le Zaouli, le Douanigbè et le Djodjan, des danses de plus en plus rares, ont presté pour le grand bonheur des populations qui se sont déplacées de toutes les contrées de la Côte d’Ivoire pour prendre part aux festivités également marquées, dans la matinée de samedi, par une opération de salubrité.
Le Gbeffé, une danse qui ne sort qu’à l’occasion des cérémonies solennelles pour magnifier les personnes âgées, a clôt ce pan de la semaine culturelle qui, de l’avis du président du comité d’organisation, Losseni Bakayoko, a pour objectif de promouvoir les potentialités culturelles du village et du canton Tieman.
Les deux premiers de chacune des six classes de l’école primaire du village ont reçu des fournitures scolaires tandis que six personnes, considérées comme les pionniers du développement de la localité, ont été gratifiées de certificats de remerciement.
Des habitants, transformés sommairement en acteurs pour l’occasion, ont sensibilisé sur l’importance de la déclaration des naissances à l’état-civil, pour permettre à la progéniture d’avoir une existence légale et de pouvoir accomplir certains actes au quotidien dont la scolarisation et l’obtention de documents d’identité.
Cette première édition de la semaine culturelle de Diobala était placée sous le thème "Contribuer au développement local à travers la promotion de nos valeurs culturelles et la célébration de l’excellence scolaire".
Kkp/kp
Tour à tour, le Dagbê, le Zaouli, le Douanigbè et le Djodjan, des danses de plus en plus rares, ont presté pour le grand bonheur des populations qui se sont déplacées de toutes les contrées de la Côte d’Ivoire pour prendre part aux festivités également marquées, dans la matinée de samedi, par une opération de salubrité.
Le Gbeffé, une danse qui ne sort qu’à l’occasion des cérémonies solennelles pour magnifier les personnes âgées, a clôt ce pan de la semaine culturelle qui, de l’avis du président du comité d’organisation, Losseni Bakayoko, a pour objectif de promouvoir les potentialités culturelles du village et du canton Tieman.
Les deux premiers de chacune des six classes de l’école primaire du village ont reçu des fournitures scolaires tandis que six personnes, considérées comme les pionniers du développement de la localité, ont été gratifiées de certificats de remerciement.
Des habitants, transformés sommairement en acteurs pour l’occasion, ont sensibilisé sur l’importance de la déclaration des naissances à l’état-civil, pour permettre à la progéniture d’avoir une existence légale et de pouvoir accomplir certains actes au quotidien dont la scolarisation et l’obtention de documents d’identité.
Cette première édition de la semaine culturelle de Diobala était placée sous le thème "Contribuer au développement local à travers la promotion de nos valeurs culturelles et la célébration de l’excellence scolaire".
Kkp/kp