Abidjan- La Commission nationale des droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) invite les candidats au strict respect de la période légale de la campagne électorale relative aux élections municipale et régionale couplées du 13 octobre.
Dans un communiqué transmis lundi, à l’AIP, la CNDHCI dit constater que depuis quelques temps, des candidats, dans certaines régions du pays, sont entrés précocement en propagande électorale alors même que la période officielle n’a pas encore été indiquée par l’instance en charge des élections.
« Ces campagnes ainsi organisées hors de la période légale, souvent sous la forme déguisée ou parfois manifeste, se traduisent par endroits par l’affichage de posters géants de candidats glissant des mots subtils aux populations ou par une occupation physique des voiries publiques à travers des processions », indique la note signée par sa présidente, Namizata Sangaré.
« Sur les réseaux sociaux, des candidats n’hésitent pas à séduire les populations en leur faisant des promesses de leur projet de développement en quête de leur suffrage », poursuit le document.
« La CNDHCI regrette ces agissements constituant une violation de la loi électorale portant ainsi atteinte au principe d’égalité entre les candidats. En sus, elle note que de tels comportements sont susceptibles de mettre à mal non seulement l’intégrité du processus électoral, mais aussi de fragiliser la paix sociale », insiste le communiqué.
Elle a invité la Commission électorale indépendante (CEI) à prendre toutes les mesures nécessaires pour une bonne organisation des élections municipale et régionale et une saine compétition entre les candidats.
« La CNDHCI ne ménagera aucun effort pour poursuivre le monitoring stratégique du processus électoral à travers ses 31 commissions régionales. Elle accordera une attention particulière à la bonne tenue des élections en surveillant les propos et comportements des acteurs électoraux. La CNDHCI exhorte par conséquent tous les candidats au strict respect de la loi électorale, notamment la période de la propagande électorale », a conclu la note.
gak/fmo
Dans un communiqué transmis lundi, à l’AIP, la CNDHCI dit constater que depuis quelques temps, des candidats, dans certaines régions du pays, sont entrés précocement en propagande électorale alors même que la période officielle n’a pas encore été indiquée par l’instance en charge des élections.
« Ces campagnes ainsi organisées hors de la période légale, souvent sous la forme déguisée ou parfois manifeste, se traduisent par endroits par l’affichage de posters géants de candidats glissant des mots subtils aux populations ou par une occupation physique des voiries publiques à travers des processions », indique la note signée par sa présidente, Namizata Sangaré.
« Sur les réseaux sociaux, des candidats n’hésitent pas à séduire les populations en leur faisant des promesses de leur projet de développement en quête de leur suffrage », poursuit le document.
« La CNDHCI regrette ces agissements constituant une violation de la loi électorale portant ainsi atteinte au principe d’égalité entre les candidats. En sus, elle note que de tels comportements sont susceptibles de mettre à mal non seulement l’intégrité du processus électoral, mais aussi de fragiliser la paix sociale », insiste le communiqué.
Elle a invité la Commission électorale indépendante (CEI) à prendre toutes les mesures nécessaires pour une bonne organisation des élections municipale et régionale et une saine compétition entre les candidats.
« La CNDHCI ne ménagera aucun effort pour poursuivre le monitoring stratégique du processus électoral à travers ses 31 commissions régionales. Elle accordera une attention particulière à la bonne tenue des élections en surveillant les propos et comportements des acteurs électoraux. La CNDHCI exhorte par conséquent tous les candidats au strict respect de la loi électorale, notamment la période de la propagande électorale », a conclu la note.
gak/fmo