Un séminaire de l’institution « Le Médiateur de la République » s’est ouvert, le lundi 10 septembre 2018, dans un hôtel de la capitale politique ivoirienne autour du thème « L’institution de médiation ivoirienne : Bilan et perspectives»
Instituée par la constitution du 1er août 2000 et confirmée par celle du 08 novembre 2016, cette institution, qui a succédé à l’Organe Présidentiel de médiation (OPREM) créé en 1995, a été mise en place pour améliorer les rapports de l’administration avec les administrés et contribuer au renforcement de la cohésion sociale. Cependant, elle reste peu connue des populations, après deux décennies d’existence.
Malgré les nombreuses initiatives menées ces dernières années. Il s’agit au cours de ces journées de réflexions, de définir une nouvelle vision du fonctionnement de l’organe de médiation. De sorte à insuffler une dynamique nouvelle d’une part et d’autre part qu’elle puisse faire preuve de pro activité face à la multiplication des conflits communautaires, fonciers ou agropastoraux et aux griefs de plus en plus nombreux des citoyens contre l’administration. Pour ce faire, trois ateliers thématiques ont été mis en place, afin d’élaborer un plan d’actions triennal pour la mise en œuvre des résolutions qui en résulteront. Procédant à l’ouverture des travaux, M. Adama Tounagara, président de l’institution « Le Médiateur de la République », a traduit tout l’intérêt qu’il porte aux conclusions de ces assises. Car, a-t-il relevé, « après 23 ans d’existence l’institution reste méconnue tant par ses missions que par le public ivoirien ».
Pour lui, le médiateur de la République doit être le principal organe de règlement non juridictionnel des litiges. Mais, surtout la sentinelle qui veille sur le bon fonctionnement de l’administration publique et de la société. Aussi, a-t- il indiqué la mission de médiation internationale dont sont investis, aujourd’hui les médiateurs et les Ombudsmans. C’est pourquoi, il a invité les participants à faire des recommandations fortes pour soutenir cette ouverture vers la médiation internationale. Par ailleurs, il a rendu un hommage, au président de la République SEM. Alassane Ouattara, pour la confiance placée en lui, en lui confiant cette prestigieuse institution de médiation, et ainsi qu’à ses prédécesseurs, les présidents Mathieu Ekra et Coulibaly N’golo fatogoma, pour le travail abattu durant leur mandature.
Harry Diallo, à Yamoussoukro
Instituée par la constitution du 1er août 2000 et confirmée par celle du 08 novembre 2016, cette institution, qui a succédé à l’Organe Présidentiel de médiation (OPREM) créé en 1995, a été mise en place pour améliorer les rapports de l’administration avec les administrés et contribuer au renforcement de la cohésion sociale. Cependant, elle reste peu connue des populations, après deux décennies d’existence.
Malgré les nombreuses initiatives menées ces dernières années. Il s’agit au cours de ces journées de réflexions, de définir une nouvelle vision du fonctionnement de l’organe de médiation. De sorte à insuffler une dynamique nouvelle d’une part et d’autre part qu’elle puisse faire preuve de pro activité face à la multiplication des conflits communautaires, fonciers ou agropastoraux et aux griefs de plus en plus nombreux des citoyens contre l’administration. Pour ce faire, trois ateliers thématiques ont été mis en place, afin d’élaborer un plan d’actions triennal pour la mise en œuvre des résolutions qui en résulteront. Procédant à l’ouverture des travaux, M. Adama Tounagara, président de l’institution « Le Médiateur de la République », a traduit tout l’intérêt qu’il porte aux conclusions de ces assises. Car, a-t-il relevé, « après 23 ans d’existence l’institution reste méconnue tant par ses missions que par le public ivoirien ».
Pour lui, le médiateur de la République doit être le principal organe de règlement non juridictionnel des litiges. Mais, surtout la sentinelle qui veille sur le bon fonctionnement de l’administration publique et de la société. Aussi, a-t- il indiqué la mission de médiation internationale dont sont investis, aujourd’hui les médiateurs et les Ombudsmans. C’est pourquoi, il a invité les participants à faire des recommandations fortes pour soutenir cette ouverture vers la médiation internationale. Par ailleurs, il a rendu un hommage, au président de la République SEM. Alassane Ouattara, pour la confiance placée en lui, en lui confiant cette prestigieuse institution de médiation, et ainsi qu’à ses prédécesseurs, les présidents Mathieu Ekra et Coulibaly N’golo fatogoma, pour le travail abattu durant leur mandature.
Harry Diallo, à Yamoussoukro