Le 5ème Sommet des Partenaires sociaux pour l’emploi en Afrique, co-organisé par la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) et l’Organisation Internationale des Employeurs (OIE) s’est ouvert ce jeudi 13 septembre 2018, à la Maison de l’Entreprise d’Abidjan-Plateau. A cette occasion, le Président de la CGECI, M. Jean-Marie Ackah, a révélé les statistiques concernant le continent africain où « 63 % des personnes ont moins de 25 ans ». Ce qui représente un important dividende démographique.
Selon M. Ackah, « l’on note qu’en moyenne, chaque mois, un million de jeunes arrivent sur le marché du travail, que la population active s’accroît de 18 millions chaque année et que 80% des emplois sur le continent, sont dans l’informel ».
Dans l’intervention du Président de la CGECI, il est apparu que la Côte d’Ivoire n’échappe pas à cette réalité. « Comme vous pouvez le constater, le déficit de travail décent est au centre de tous les défis. Et la croissance à elle seule ne suffit plus à juguler la pauvreté grandissante dans nos Pays. L’emploi, reste avant tout un problème économique. Promouvoir l’emploi revient à créer les conditions d’un développement durable et inclusif reposant sur une économie dynamique, compétitive, capable de générer de la richesse qui profite au plus grand nombre de personnes », a-t-il avancé.
En accueillant le présent sommet, la CGECI marque ainsi son engagement en faveur des politiques économiques qui, non seulement, créent la croissance, mais aussi, des emplois décents en quantité suffisante pour contribuer à la réduction de la pauvreté
L’organisation patronale, pour ce faire, compte sur l’implication et la contribution actives de tous les participants pour « le développement de plan d’actions nationaux pour l’emploi » qui, du reste, est le sujet central du présent sommet.
Aussi, après l’ouverture de la conférence inaugurale du Sommet par le Ministre ivoirien de la Promotion de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes, M. Mamadou Touré, est-il observé d’intenses réflexions des Partenaires Sociaux du Continent sur le sujet de l’Emploi en Afrique ; notamment, le développement et la surveillance des plans d’actions nationaux tels que recommandés par les précédents sommets tenus à Casablanca (Maroc), Tunis (Tunisie) et Alger (Algérie)
Lors de l’élaboration des PAN (Plan d’Actions Nationaux) pour l’emploi, les commissions de travail techniques- il en existe quatre au total- devront prendre en compte, entre autres, les résultats des sommets du passé où le développement des PME, celui des compétences, l’entrepreneuriat des jeunes et l’employabilité apparaissent en tant que questions transversales. Les conclusions détaillées des sommets antérieurs sont mises à la disposition des commissions et servent de documents de travail.
Le 5ème Sommet des Partenaires Sociaux Africains sur l’Emploi prendra fin ce vendredi 14 septembre 2018 avec la présentation des rapports des commissions.
Notons qu’à la première journée de cet évènement majeur, MM. Roberto Suarez Santos, El-Mahfoud Megateli, Abdoulaye Diallo, Mamadou Diallo, Jean-Jacques Kouakou, respectivement Secrétaire général par intérim de l’OIE, Vice-Président pour l’Afrique de l’OIE, représentant de l’Unité Syndicale Africaine (OUSA), Secrétaire général de la Confédération Syndicale Internationale et Directeur de Cabinet du Ministre de l’Emploi et de la Protection Sociale de Côte d’Ivoire et Mme Cynthia Samuel –Olonjuwon, Directrice générale adjointe du BIT également Directrice du Bureau régional de l’Organisation Internationale du Travail pour l’Afrique sont intervenus pour faire soit l’état des lieux de l’emploi sur le Continent, soit pour aborder la question de la promotion de la croissance économique soutenue, partagée et durable ainsi que le plein emploi productif et un travail décent pour tous.
C.K
Selon M. Ackah, « l’on note qu’en moyenne, chaque mois, un million de jeunes arrivent sur le marché du travail, que la population active s’accroît de 18 millions chaque année et que 80% des emplois sur le continent, sont dans l’informel ».
Dans l’intervention du Président de la CGECI, il est apparu que la Côte d’Ivoire n’échappe pas à cette réalité. « Comme vous pouvez le constater, le déficit de travail décent est au centre de tous les défis. Et la croissance à elle seule ne suffit plus à juguler la pauvreté grandissante dans nos Pays. L’emploi, reste avant tout un problème économique. Promouvoir l’emploi revient à créer les conditions d’un développement durable et inclusif reposant sur une économie dynamique, compétitive, capable de générer de la richesse qui profite au plus grand nombre de personnes », a-t-il avancé.
En accueillant le présent sommet, la CGECI marque ainsi son engagement en faveur des politiques économiques qui, non seulement, créent la croissance, mais aussi, des emplois décents en quantité suffisante pour contribuer à la réduction de la pauvreté
L’organisation patronale, pour ce faire, compte sur l’implication et la contribution actives de tous les participants pour « le développement de plan d’actions nationaux pour l’emploi » qui, du reste, est le sujet central du présent sommet.
Aussi, après l’ouverture de la conférence inaugurale du Sommet par le Ministre ivoirien de la Promotion de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes, M. Mamadou Touré, est-il observé d’intenses réflexions des Partenaires Sociaux du Continent sur le sujet de l’Emploi en Afrique ; notamment, le développement et la surveillance des plans d’actions nationaux tels que recommandés par les précédents sommets tenus à Casablanca (Maroc), Tunis (Tunisie) et Alger (Algérie)
Lors de l’élaboration des PAN (Plan d’Actions Nationaux) pour l’emploi, les commissions de travail techniques- il en existe quatre au total- devront prendre en compte, entre autres, les résultats des sommets du passé où le développement des PME, celui des compétences, l’entrepreneuriat des jeunes et l’employabilité apparaissent en tant que questions transversales. Les conclusions détaillées des sommets antérieurs sont mises à la disposition des commissions et servent de documents de travail.
Le 5ème Sommet des Partenaires Sociaux Africains sur l’Emploi prendra fin ce vendredi 14 septembre 2018 avec la présentation des rapports des commissions.
Notons qu’à la première journée de cet évènement majeur, MM. Roberto Suarez Santos, El-Mahfoud Megateli, Abdoulaye Diallo, Mamadou Diallo, Jean-Jacques Kouakou, respectivement Secrétaire général par intérim de l’OIE, Vice-Président pour l’Afrique de l’OIE, représentant de l’Unité Syndicale Africaine (OUSA), Secrétaire général de la Confédération Syndicale Internationale et Directeur de Cabinet du Ministre de l’Emploi et de la Protection Sociale de Côte d’Ivoire et Mme Cynthia Samuel –Olonjuwon, Directrice générale adjointe du BIT également Directrice du Bureau régional de l’Organisation Internationale du Travail pour l’Afrique sont intervenus pour faire soit l’état des lieux de l’emploi sur le Continent, soit pour aborder la question de la promotion de la croissance économique soutenue, partagée et durable ainsi que le plein emploi productif et un travail décent pour tous.
C.K