Les lampions se sont éteints sur le 5ème Sommet des partenaires sociaux pour l’emploi en Afrique le vendredi 14 septembre à l’auditorium de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire.
Plusieurs résolutions ont marqué cette fin de session de réflexions sur les questions de l’emploi.
Parmi tant d’autres, la digitalisation de l’économie surtout au niveau des secteurs comme ceux de l’agriculture ont été prises, à en croire la secrétaire générale de Business Africa et le directeur exécutif de la CGECI, Dr Meite Vaflahi.
L’emploi étant l’épineux problème de l’Afrique, les experts ont souhaité que les jeunes aient une certaine compétence dans un certain nombre de domaines y compris les nouvelles technologies, pour leur permettre d’être, de véritables auto-employeurs.
Pour Jacqueline Mugo, secrétaire générale de Business Africa, les discussions ont porté sur plusieurs sujet notamment les sciences et technologies de l’information et de la communication, l’agro-industrie et l’emploi rural, le financement de l’emploi. Dans son intervention, la secrétaire générale a invité les organisations patronales à passer en revue le climat des affaires. Tout en exigeant le déficit des compétences.
Dans la perspective de permettre aux jeunes de pouvoir se prendre en charge et créer eux-même leur propre emploi, les séminaristes ont incité les uns et les autres à aller vers l’engagement de la digitalisation de l’économie.
Pour rappel, la Cgeci avait relevé à l’ouverture des travaux de ce sommet que même si en moyenne 1 million de jeunes arrivent sur le marché du travail, 80% des emplois sur le continent sont dans l’informel. Mais, fait remarquer le directeur exécutif de cette institution, le problème de l’emploi n’est pas qu’en Côte d’Ivoire ou en Afrique, il est mondial.
CK
Plusieurs résolutions ont marqué cette fin de session de réflexions sur les questions de l’emploi.
Parmi tant d’autres, la digitalisation de l’économie surtout au niveau des secteurs comme ceux de l’agriculture ont été prises, à en croire la secrétaire générale de Business Africa et le directeur exécutif de la CGECI, Dr Meite Vaflahi.
L’emploi étant l’épineux problème de l’Afrique, les experts ont souhaité que les jeunes aient une certaine compétence dans un certain nombre de domaines y compris les nouvelles technologies, pour leur permettre d’être, de véritables auto-employeurs.
Pour Jacqueline Mugo, secrétaire générale de Business Africa, les discussions ont porté sur plusieurs sujet notamment les sciences et technologies de l’information et de la communication, l’agro-industrie et l’emploi rural, le financement de l’emploi. Dans son intervention, la secrétaire générale a invité les organisations patronales à passer en revue le climat des affaires. Tout en exigeant le déficit des compétences.
Dans la perspective de permettre aux jeunes de pouvoir se prendre en charge et créer eux-même leur propre emploi, les séminaristes ont incité les uns et les autres à aller vers l’engagement de la digitalisation de l’économie.
Pour rappel, la Cgeci avait relevé à l’ouverture des travaux de ce sommet que même si en moyenne 1 million de jeunes arrivent sur le marché du travail, 80% des emplois sur le continent sont dans l’informel. Mais, fait remarquer le directeur exécutif de cette institution, le problème de l’emploi n’est pas qu’en Côte d’Ivoire ou en Afrique, il est mondial.
CK