Cissé Bacongo, candidat du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp), la coalition au pouvoir, pour les élections municipales à Koumassi (Sud d’Abidjan), a promis dimanche « développer un partenariat gagnant-gagnant avec les entreprises industrielles et commerciales » pour l’emploi des jeunes.
« Nous allons développer un partenariat gagnant-gagnant avec les entreprises industrielles et commerciales de la commune de Koumassi en vue de permettre à tous les jeunes diplômés ou non, au chômage ou en quête d’un premier emploi d’avoir du travail », a dit Bacongo, au lancement de sa campagne.
« En ce sens, nous allons intervenir auprès des ministères du Budget, de l’Économie et des finances afin d’obtenir des facilités au profit des entreprises de la zone industrielle de Koumassi qui accepteront d’embaucher un certain quota annuel des jeunes » de la commune, a-t-il ajouté.
S’agissant des femmes, M. Bacongo, conseiller du président de la République, chargé des affaires juridiques et administratives, envisage d’ « établir un partenariat dynamique et efficace avec le Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire, le Fafci », s’honorant d’être le filleul de la fondatrice, Mme Dominique Ouattara.
« Mme la Première dame nous a déjà donné une enveloppe de 100 millions Fcfa, la semaine dernière pour financer les projets des femmes de Koumassi », a-t-il fait savoir, indiquant avoir instruit son staff à l’effet de « confectionner une liste de 500 femmes de tous les bords politiques, toutes les origines ethniques et confessions religieuses afin de bénéficier de ces fonds déposés à la Coopec (micro finance)».
Concernant la vie socio-professionnelle, le candidat du Rhdp annonce au lendemain du scrutin, prévu le 13 octobre 2018, après sa « victoire », la réalisation d’une cantine scolaire, d’une bibliothèque, d’une fontaine avec 13 mètres de jet d’eau et d’une piscine municipale.
Il a, à l’endroit de ses détracteurs, rejeté l’idée « que Bacongo a une arme avec laquelle il menace le tout venant», avant d’ajouter « je suis un homme de droit, un juriste d’affaires, je suis docteur en droit et j’enseigne à l’université, je n’ai pas besoin d’arme ».
Au cours du meeting, l’honorable Traoré Adjaratou, épouse du général Issa Coulibaly, a fait une déclaration empreinte de réconciliation. « Je suis à votre service », a-t-elle, lancé à l’endroit de M. Bacongo, qui, avant de diriger la commune, devra battre l’actuel maire qui l’a dépassé aux voix lors de la précédente municipale.
AP/ls/APA
« Nous allons développer un partenariat gagnant-gagnant avec les entreprises industrielles et commerciales de la commune de Koumassi en vue de permettre à tous les jeunes diplômés ou non, au chômage ou en quête d’un premier emploi d’avoir du travail », a dit Bacongo, au lancement de sa campagne.
« En ce sens, nous allons intervenir auprès des ministères du Budget, de l’Économie et des finances afin d’obtenir des facilités au profit des entreprises de la zone industrielle de Koumassi qui accepteront d’embaucher un certain quota annuel des jeunes » de la commune, a-t-il ajouté.
S’agissant des femmes, M. Bacongo, conseiller du président de la République, chargé des affaires juridiques et administratives, envisage d’ « établir un partenariat dynamique et efficace avec le Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire, le Fafci », s’honorant d’être le filleul de la fondatrice, Mme Dominique Ouattara.
« Mme la Première dame nous a déjà donné une enveloppe de 100 millions Fcfa, la semaine dernière pour financer les projets des femmes de Koumassi », a-t-il fait savoir, indiquant avoir instruit son staff à l’effet de « confectionner une liste de 500 femmes de tous les bords politiques, toutes les origines ethniques et confessions religieuses afin de bénéficier de ces fonds déposés à la Coopec (micro finance)».
Concernant la vie socio-professionnelle, le candidat du Rhdp annonce au lendemain du scrutin, prévu le 13 octobre 2018, après sa « victoire », la réalisation d’une cantine scolaire, d’une bibliothèque, d’une fontaine avec 13 mètres de jet d’eau et d’une piscine municipale.
Il a, à l’endroit de ses détracteurs, rejeté l’idée « que Bacongo a une arme avec laquelle il menace le tout venant», avant d’ajouter « je suis un homme de droit, un juriste d’affaires, je suis docteur en droit et j’enseigne à l’université, je n’ai pas besoin d’arme ».
Au cours du meeting, l’honorable Traoré Adjaratou, épouse du général Issa Coulibaly, a fait une déclaration empreinte de réconciliation. « Je suis à votre service », a-t-elle, lancé à l’endroit de M. Bacongo, qui, avant de diriger la commune, devra battre l’actuel maire qui l’a dépassé aux voix lors de la précédente municipale.
AP/ls/APA