Abidjan- La Commission nationale des droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) démarre ce jeudi une session de formation spécialisée sur les mécanismes de protection des droits de l’homme autour du thème « La Côte d’Ivoire face aux mécanismes de protection des droits de l’homme ».
Cette session spécialisée qui se tient d’octobre à décembre, permettra de mieux outiller les organisations de la société civile, dans le but de produire des rapports alternatives, capables de soutenir le pays aux examens périodiques universels (EPU) qui se tiendront le 7 mai 2019.
S’exprimant lors de la double cérémonie de clôture de la 2ème session de formation sur les généralités des droit de l’Homme tenue de juin à septembre, et d’ouverture de la session spécialisée, la présidente de la CNDHCI, Sangaré Namizata a souligné que cette initiative concourt à élargir le champ des défenseurs des droits humains en Côte d’Ivoire, mais aussi à les promouvoir à travers le renforcement des capacités de tous les auditeurs issus de toutes les couches sociales.
« La Côte d’Ivoire sera devant les comités des droits de l’Homme, et le comité de régulation de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes. Notre ambition majeure consiste à leur permettre d’appliquer les acquis dans l’exercice de leurs fonctions et au sein de leurs organisations respectives », a-t-elle ajouté.
Mme Sangaré a remercié tous les acteurs qui ont contribué au bon déroulement de la deuxième session, avant de souhaiter bon usage aux 120 auditeurs qui ont reçu des diplômes de participation, faisant d’eux des artisans des droits de l’homme en Côte d’Ivoire.
raz/cmas
Cette session spécialisée qui se tient d’octobre à décembre, permettra de mieux outiller les organisations de la société civile, dans le but de produire des rapports alternatives, capables de soutenir le pays aux examens périodiques universels (EPU) qui se tiendront le 7 mai 2019.
S’exprimant lors de la double cérémonie de clôture de la 2ème session de formation sur les généralités des droit de l’Homme tenue de juin à septembre, et d’ouverture de la session spécialisée, la présidente de la CNDHCI, Sangaré Namizata a souligné que cette initiative concourt à élargir le champ des défenseurs des droits humains en Côte d’Ivoire, mais aussi à les promouvoir à travers le renforcement des capacités de tous les auditeurs issus de toutes les couches sociales.
« La Côte d’Ivoire sera devant les comités des droits de l’Homme, et le comité de régulation de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes. Notre ambition majeure consiste à leur permettre d’appliquer les acquis dans l’exercice de leurs fonctions et au sein de leurs organisations respectives », a-t-elle ajouté.
Mme Sangaré a remercié tous les acteurs qui ont contribué au bon déroulement de la deuxième session, avant de souhaiter bon usage aux 120 auditeurs qui ont reçu des diplômes de participation, faisant d’eux des artisans des droits de l’homme en Côte d’Ivoire.
raz/cmas