Le ministre de la Communication et des médias, Sidi Touré a reçu ce mardi 23 octobre à son cabinet, les patrons des organisations professionnelles de presse.
La rencontre entre le Ministre de la Communication et des médias Sidi Tiémoko Touré et les responsables des organisations professionnelles de la presse a tenu ses promesses.
Le premier responsable de la communication a voulu la rencontre conviviale afin d’échanger à bâton rompu sur la situation des entreprises de presse et des journalistes.
Les journalistes présents ont apprécié l’initiative du ministre Sidi Touré et ont passé en revue le tableau pas trop reluisant de la situation de la presse en Côte d’Ivoire. Ils ont cité entre autres, la faiblesse des entreprises de presse, la précarité de l’emploi et des conditions de vie dans le secteur.
Résumant la situation, Guillaume Gbato, secrétaire général du Syndicat National des Professionnels de la Presse de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI) a soutenu que, si des progrès ont été enregistrés surtout avec le vote de la nouvelle loi sur la presse, beaucoup reste à faire au niveau social.
Pour coller à l’actualité, le président du Forum des Directeurs de Publication de Côte d’Ivoire, Tra Bi Charles a fait un plaidoyer en faveur des patrons de presse qui avaient menacé de décréter une journée presse morte le Jeudi 25 Octobre 2018.
Une occasion, saisie par le Ministre pour expliquer les fondements de la décision du gouvernement en venant en aide à la société d’édition EDIPRESS, afin que celle-ci puisse distribuer convenablement les journaux à travers toute l’étendue du territoire national en utilisant le réseau de la Poste de Côte d’Ivoire. Sur la base de chiffre, ce prêt et non don octroyé à EDIPRESS a déjà permis d’améliorer la distribution dans plusieurs communes du pays.
Sans oublier que cette société pourra reverser aux entreprises cette année, la côte part qu’elle n’arrive pas à verser en raison de sa situation difficile. Il a invité les responsables de la presse à la retenue et au dialogue afin de trouver les pistes pouvant doter le pays de véritables entreprises de presse.
C’est justement dans cette veine que le pays vient de se doter d’une politique nationale de communication et des médias (PONACOM). Un instrument que le ministre s’engage à protéger, enrichir et à faire évaluer régulièrement pour s’assurer de son efficacité au fil du temps.
Le ministre Sidi Touré après avoir rassuré les patrons de presse quant à leurs revendications, a émis le vœu de les rencontrer par organisation.
Le porte-parole du gouvernement a profité de cette rencontre , pour remercier , ces organisations pour l’implication de certaines d’entre elles dans l’organisation de la PONACOM 2018-2018 qui s’est tenu du 17- au 19 octobre 2018 à Grand-Bassam.
« Nous tâcherons de l’évaluer et de l’enrichir chaque année »" a déclaré Sidi Touré, parlant du document-cadre de la Politique Nationale de la Communication
(PONACOM).
La rencontre entre le Ministre de la Communication et des médias Sidi Tiémoko Touré et les responsables des organisations professionnelles de la presse a tenu ses promesses.
Le premier responsable de la communication a voulu la rencontre conviviale afin d’échanger à bâton rompu sur la situation des entreprises de presse et des journalistes.
Les journalistes présents ont apprécié l’initiative du ministre Sidi Touré et ont passé en revue le tableau pas trop reluisant de la situation de la presse en Côte d’Ivoire. Ils ont cité entre autres, la faiblesse des entreprises de presse, la précarité de l’emploi et des conditions de vie dans le secteur.
Résumant la situation, Guillaume Gbato, secrétaire général du Syndicat National des Professionnels de la Presse de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI) a soutenu que, si des progrès ont été enregistrés surtout avec le vote de la nouvelle loi sur la presse, beaucoup reste à faire au niveau social.
Pour coller à l’actualité, le président du Forum des Directeurs de Publication de Côte d’Ivoire, Tra Bi Charles a fait un plaidoyer en faveur des patrons de presse qui avaient menacé de décréter une journée presse morte le Jeudi 25 Octobre 2018.
Une occasion, saisie par le Ministre pour expliquer les fondements de la décision du gouvernement en venant en aide à la société d’édition EDIPRESS, afin que celle-ci puisse distribuer convenablement les journaux à travers toute l’étendue du territoire national en utilisant le réseau de la Poste de Côte d’Ivoire. Sur la base de chiffre, ce prêt et non don octroyé à EDIPRESS a déjà permis d’améliorer la distribution dans plusieurs communes du pays.
Sans oublier que cette société pourra reverser aux entreprises cette année, la côte part qu’elle n’arrive pas à verser en raison de sa situation difficile. Il a invité les responsables de la presse à la retenue et au dialogue afin de trouver les pistes pouvant doter le pays de véritables entreprises de presse.
C’est justement dans cette veine que le pays vient de se doter d’une politique nationale de communication et des médias (PONACOM). Un instrument que le ministre s’engage à protéger, enrichir et à faire évaluer régulièrement pour s’assurer de son efficacité au fil du temps.
Le ministre Sidi Touré après avoir rassuré les patrons de presse quant à leurs revendications, a émis le vœu de les rencontrer par organisation.
Le porte-parole du gouvernement a profité de cette rencontre , pour remercier , ces organisations pour l’implication de certaines d’entre elles dans l’organisation de la PONACOM 2018-2018 qui s’est tenu du 17- au 19 octobre 2018 à Grand-Bassam.
« Nous tâcherons de l’évaluer et de l’enrichir chaque année »" a déclaré Sidi Touré, parlant du document-cadre de la Politique Nationale de la Communication
(PONACOM).