La troisième édition de Africa cybersécurité conférence, la plus grande rencontre de la transformation numérique en Afrique de l'ouest, s'est ouverte mercredi à Abidjan, autour du thème « Cybersécurité : moteur de la transformation digitale » en présence de plusieurs participants provenant d'une trentaine de pays africains, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
« Le développement de l'économie numérique doit permettre à booster d'autres secteurs d'activités. Et la révolution numérique est l'opportunité pour développer le continent africain », a estimé Nongolougo Soro, le directeur général de la Société nationale de développement informatique ( SNDI) lors d'un panel inaugural de cette conférence internationale sur les enjeux et les opportunités de la transformation digitale.
« L'Afrique doit absolument assainir son cyberespace si elle veut réussir sa transformation digitale. Il est vital d'avoir un cyberespace résilient afin de réaliser son potentiel économique dans toute sa transformation numérique », a, pour sa part soutenu Mack Coulibaly, le président de Africa cybersécurité conférence dans un discours lors d'une cérémonie d'ouverture de cet événement.
Selon, M. Coulibaly, la révolution technologique est une réalité en Afrique où la connectivité numérique est passée de 167,3 millions de personnes en 2012 à 412 millions en 2017.
« La cybercriminalité financière est en croissance en Afrique et le cyberespace africain mérite une protection nationale. L'Africa cybersécurité est donc une illustration de notre pouvoir collectif de protection, de défense et de développement de la richesse et de la valeur économique à l'ère du numérique», a-t-il en outre, fait savoir plaidant pour un « partenariat solide» entre les africains.
Relevant à son tour, les enjeux du digital en Afrique, Habib Bamba, le directeur de la transformation digitale d'une compagnie de téléphonie mobile en Côte d'Ivoire a affirmé que selon des études, « à l'horizon 2025, le numérique représentera 10% du PIB (Produit intérieur brut) du continent africain ».
De l'avis de M. Bamba, le numérique est d'une importance capitale tant pour les secteurs public que privé des pays africains. « Le numérique peut permettre d'optimiser les différents secteurs d'activités de l'économie», a-t-il indiqué. Cette troisième édition de l'Africa Cybersécurité qui s'achèvera vendredi, sera meublée par plusieurs activités.
Il s'agit entre autres, d'échanges d'expertise entre entreprises, d'échanges d'expériences entre des acteurs du secteur privé et public, la présentation de solutions digitales par les petites et moyennes entreprises dans des stands et une compétition de hackathon pour mettre en valeur les capacités informatiques locales.
Instituée en 2016, Africa cybersécurité conférence est une rencontre régionale qui permet de faire l'état des lieux des avancées technologiques en Afrique, les enjeux économiques et sociaux liés à ces avancées et les solutions digitales à développer contre les cyberattaques sur le continent.
LB/ls/APA
« Le développement de l'économie numérique doit permettre à booster d'autres secteurs d'activités. Et la révolution numérique est l'opportunité pour développer le continent africain », a estimé Nongolougo Soro, le directeur général de la Société nationale de développement informatique ( SNDI) lors d'un panel inaugural de cette conférence internationale sur les enjeux et les opportunités de la transformation digitale.
« L'Afrique doit absolument assainir son cyberespace si elle veut réussir sa transformation digitale. Il est vital d'avoir un cyberespace résilient afin de réaliser son potentiel économique dans toute sa transformation numérique », a, pour sa part soutenu Mack Coulibaly, le président de Africa cybersécurité conférence dans un discours lors d'une cérémonie d'ouverture de cet événement.
Selon, M. Coulibaly, la révolution technologique est une réalité en Afrique où la connectivité numérique est passée de 167,3 millions de personnes en 2012 à 412 millions en 2017.
« La cybercriminalité financière est en croissance en Afrique et le cyberespace africain mérite une protection nationale. L'Africa cybersécurité est donc une illustration de notre pouvoir collectif de protection, de défense et de développement de la richesse et de la valeur économique à l'ère du numérique», a-t-il en outre, fait savoir plaidant pour un « partenariat solide» entre les africains.
Relevant à son tour, les enjeux du digital en Afrique, Habib Bamba, le directeur de la transformation digitale d'une compagnie de téléphonie mobile en Côte d'Ivoire a affirmé que selon des études, « à l'horizon 2025, le numérique représentera 10% du PIB (Produit intérieur brut) du continent africain ».
De l'avis de M. Bamba, le numérique est d'une importance capitale tant pour les secteurs public que privé des pays africains. « Le numérique peut permettre d'optimiser les différents secteurs d'activités de l'économie», a-t-il indiqué. Cette troisième édition de l'Africa Cybersécurité qui s'achèvera vendredi, sera meublée par plusieurs activités.
Il s'agit entre autres, d'échanges d'expertise entre entreprises, d'échanges d'expériences entre des acteurs du secteur privé et public, la présentation de solutions digitales par les petites et moyennes entreprises dans des stands et une compétition de hackathon pour mettre en valeur les capacités informatiques locales.
Instituée en 2016, Africa cybersécurité conférence est une rencontre régionale qui permet de faire l'état des lieux des avancées technologiques en Afrique, les enjeux économiques et sociaux liés à ces avancées et les solutions digitales à développer contre les cyberattaques sur le continent.
LB/ls/APA