Suite aux remous que connait le Bureau Ivoirien du Droit d’Auteur (BURIDA), le ministre de la culture a produit un communiqué dont Abidjan.net a eu copie
« Depuis quelques temps, le BURIDA est à nouveau l’objet d’une crise entre les artistes. En effet, un groupe d’artistes réunis dans un collectif a saisi le conseil d’administration du BURIDA aux fins de limoger la Directrice Générale, Madame Irène Viera, accusée de fautes lourdes et de mauvaise gestion. Ce groupe a saisi par courrier, différentes Institutions de l’Etat dont l’Inspection Générale d’Etat (IGE) et la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance (HABG) » introduit la note.
Dans le même temps, d’autres collectifs d’artistes constitués se sont portés à la défense du bilan et de la gestion de la Directrice Générale. Pour eux, sous la gestion de Madame Irène Viera le BURIDA est passée de soixante millions (60.000.000 FCFA) par an de financement des droits d’auteurs de 2008 à 2011, à plus d’un milliard (1.000.000.000 FCFA) par an depuis 3 ans. Ces collectifs notent également que la Directrice Générale et son équipe ont réalisé au titre de l’exercice 2017 un excèdent de cent millions (100.000.000 FCFA). Ce qui n’était pas arrivé au BURIDA depuis 20 ans.
« Face à cette situation l’Inspection Générale d’Etat a commandité un audit du BURIDA conduit techniquement par l’un des plus grands cabinets Internationaux d’audit implanté dans notre pays », annonce le ministère qui souligne: « le Gouvernement attend les conclusions de cet audit pour prendre toutes les décisions nécessaires » et invite: « dans l’attente, toutes les parties prenantes à faire preuve de retenue et de responsabilité. »
« Depuis quelques temps, le BURIDA est à nouveau l’objet d’une crise entre les artistes. En effet, un groupe d’artistes réunis dans un collectif a saisi le conseil d’administration du BURIDA aux fins de limoger la Directrice Générale, Madame Irène Viera, accusée de fautes lourdes et de mauvaise gestion. Ce groupe a saisi par courrier, différentes Institutions de l’Etat dont l’Inspection Générale d’Etat (IGE) et la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance (HABG) » introduit la note.
Dans le même temps, d’autres collectifs d’artistes constitués se sont portés à la défense du bilan et de la gestion de la Directrice Générale. Pour eux, sous la gestion de Madame Irène Viera le BURIDA est passée de soixante millions (60.000.000 FCFA) par an de financement des droits d’auteurs de 2008 à 2011, à plus d’un milliard (1.000.000.000 FCFA) par an depuis 3 ans. Ces collectifs notent également que la Directrice Générale et son équipe ont réalisé au titre de l’exercice 2017 un excèdent de cent millions (100.000.000 FCFA). Ce qui n’était pas arrivé au BURIDA depuis 20 ans.
« Face à cette situation l’Inspection Générale d’Etat a commandité un audit du BURIDA conduit techniquement par l’un des plus grands cabinets Internationaux d’audit implanté dans notre pays », annonce le ministère qui souligne: « le Gouvernement attend les conclusions de cet audit pour prendre toutes les décisions nécessaires » et invite: « dans l’attente, toutes les parties prenantes à faire preuve de retenue et de responsabilité. »