Un partenariat est envisagé entre l'institut français et le centre culturel Jacques Aka de Bouaké, dans le but d’aider ce centre à jouer son rôle et à démultiplier «le rayonnement» de la culture française en Côte d’Ivoire, fait savoir le directeur de l’institut français, Patrice Thevier.
"Ça me paraît nécessaire de donner les moyens à ce centre de revire aujourd’hui. Et je crois que l’institut français de Côte d’Ivoire à Abidjan a un vrai rôle à jouer pour nouer un partenariat avec le centre Jacques Aka", a laissé entendre, vendredi, M. Thevier, lors de la journée du volontariat français à laquelle il participait en tant que représentant de l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire.
Il promet de contribuer au renforcement du fonds documentaire du centre culturel Jacques Aka, y créer des spectacles avec des artistes et organiser des conférences avec personnes ressources de haut niveau.
Ce partenariat sera développé dans le cadre de la stratégie de l’institut français «hors les murs» qui consiste à «dépasser l’enceinte, les murs de l’institut français» pour promouvoir la culture française à travers des structures ivoiriennes.
«Ça nous permet aussi de mieux couvrir la Côte d’Ivoire. Et pour les artistes qui viennent, c’est une joie pour eux d’être confrontés à d’autres réalités que celles d’Abidjan», selon le conseiller de coopération et d’actions culturelles de l’ambassade de France en Côte d’Ivoire, Patrice Thevier.
En contrepartie, il souhaite la mobilisation du maximum de personnes notamment, des jeunes et d’étudiants pour la participation aux événements qui seront organisés dans le cadre de ce partenariat. L’institut, a-t-il signifié, se réjouirait du succès de chaque événement si la mobilisation est une réussite.
«Je pense qu’il y a une culture, une énergie à Bouaké. (...). On sent que ça bouge mais il faut se donner les moyens aujourd’hui de répondre à cette demande.», a-t-il conclu.
Le directeur du centre culturel Jacques Aka, Yao Basile, qui en avait fait la suggestion au directeur de l’institut français, estime que ce partenariat aidera sa structure à assurer ses «prérogatives culturelles par rapport à la ville de Bouaké». «Un partenariat avec cet institut, c’est le centre culturel qui en tire profit.», a indiqué M. Yao qui croit que le renforcement de la documentation servira la cause des élèves et des étudiants de Bouaké.
(AIP)
nbf/ask
"Ça me paraît nécessaire de donner les moyens à ce centre de revire aujourd’hui. Et je crois que l’institut français de Côte d’Ivoire à Abidjan a un vrai rôle à jouer pour nouer un partenariat avec le centre Jacques Aka", a laissé entendre, vendredi, M. Thevier, lors de la journée du volontariat français à laquelle il participait en tant que représentant de l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire.
Il promet de contribuer au renforcement du fonds documentaire du centre culturel Jacques Aka, y créer des spectacles avec des artistes et organiser des conférences avec personnes ressources de haut niveau.
Ce partenariat sera développé dans le cadre de la stratégie de l’institut français «hors les murs» qui consiste à «dépasser l’enceinte, les murs de l’institut français» pour promouvoir la culture française à travers des structures ivoiriennes.
«Ça nous permet aussi de mieux couvrir la Côte d’Ivoire. Et pour les artistes qui viennent, c’est une joie pour eux d’être confrontés à d’autres réalités que celles d’Abidjan», selon le conseiller de coopération et d’actions culturelles de l’ambassade de France en Côte d’Ivoire, Patrice Thevier.
En contrepartie, il souhaite la mobilisation du maximum de personnes notamment, des jeunes et d’étudiants pour la participation aux événements qui seront organisés dans le cadre de ce partenariat. L’institut, a-t-il signifié, se réjouirait du succès de chaque événement si la mobilisation est une réussite.
«Je pense qu’il y a une culture, une énergie à Bouaké. (...). On sent que ça bouge mais il faut se donner les moyens aujourd’hui de répondre à cette demande.», a-t-il conclu.
Le directeur du centre culturel Jacques Aka, Yao Basile, qui en avait fait la suggestion au directeur de l’institut français, estime que ce partenariat aidera sa structure à assurer ses «prérogatives culturelles par rapport à la ville de Bouaké». «Un partenariat avec cet institut, c’est le centre culturel qui en tire profit.», a indiqué M. Yao qui croit que le renforcement de la documentation servira la cause des élèves et des étudiants de Bouaké.
(AIP)
nbf/ask