Le Processus de Rabat est un cadre international de concertation sur les questions migratoires qui regroupe plus de 60 pays et organisations internationales. Son secrétariat est assuré par le Centre International pour le Développement des Politiques Migratoires (ICMPD).
Les 23 et 24 octobre dernier, plusieurs de ces pays ont répondu à l’invitation de la France, représentée par SEM Pascal Teixeira Da Silva, pour une concertation sur les causes profondes de la migration irrégulière.
Cet atelier de deux jours, a permis aux différentes délégations d’analyser le phénomène migratoire dans son ensemble et de proposer une approche innovante basée sur la coopération internationale.
Au cours de ces échanges, les résultats préliminaires partagés d’une étude du phénomène dans les pays de départ ont permis de réaliser que la migration dont la complexité est reconnue de tous, a plusieurs déterminants et causes.
Ainsi, la rencontre a établi que la migration irrégulière est une réalité dont les causes, qui sont multiples et diverses sont celles qui motivent la décision de partir, ou de départ, rejetant ainsi le terme de causes profondes à la migration irrégulière.
La Côte d’Ivoire qui a beaucoup travaillé sur la question y était représentée par le point focal national du Processus de Rabat, le Directeur Général des Ivoiriens de l’Extérieur, (DGIE) du Ministère de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens (MIAIE) de l’Extérieur, M. Issiaka Konaté.
Il a partagé l’expérience de son pays en matière de communication et de sensibilisation et a insisté sur la nécessité de la coordination et de la cohérence des messages sans oublier le traitement égal et équilibré de tous les cinq axes définis lors du sommet de la Valette.
Selon M. Konate, le respect des Droits d’un migrant ne doit pas être lié à son statut migratoire.
Plusieurs recommandations importantes ont été dégagées à l’ endroit des pays, des décideurs politiques et des organisations internationales.
Une dernière rencontre aura lieu à Addis-Abeba les 14, 15 novembre 2018, avant la signature du pacte mondial pour les migrations sures et ordonnées à Marrakech en présence de plusieurs Chefs d’Etat et de Gouvernement le 10 décembre 2018.
DGIE
Les 23 et 24 octobre dernier, plusieurs de ces pays ont répondu à l’invitation de la France, représentée par SEM Pascal Teixeira Da Silva, pour une concertation sur les causes profondes de la migration irrégulière.
Cet atelier de deux jours, a permis aux différentes délégations d’analyser le phénomène migratoire dans son ensemble et de proposer une approche innovante basée sur la coopération internationale.
Au cours de ces échanges, les résultats préliminaires partagés d’une étude du phénomène dans les pays de départ ont permis de réaliser que la migration dont la complexité est reconnue de tous, a plusieurs déterminants et causes.
Ainsi, la rencontre a établi que la migration irrégulière est une réalité dont les causes, qui sont multiples et diverses sont celles qui motivent la décision de partir, ou de départ, rejetant ainsi le terme de causes profondes à la migration irrégulière.
La Côte d’Ivoire qui a beaucoup travaillé sur la question y était représentée par le point focal national du Processus de Rabat, le Directeur Général des Ivoiriens de l’Extérieur, (DGIE) du Ministère de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens (MIAIE) de l’Extérieur, M. Issiaka Konaté.
Il a partagé l’expérience de son pays en matière de communication et de sensibilisation et a insisté sur la nécessité de la coordination et de la cohérence des messages sans oublier le traitement égal et équilibré de tous les cinq axes définis lors du sommet de la Valette.
Selon M. Konate, le respect des Droits d’un migrant ne doit pas être lié à son statut migratoire.
Plusieurs recommandations importantes ont été dégagées à l’ endroit des pays, des décideurs politiques et des organisations internationales.
Une dernière rencontre aura lieu à Addis-Abeba les 14, 15 novembre 2018, avant la signature du pacte mondial pour les migrations sures et ordonnées à Marrakech en présence de plusieurs Chefs d’Etat et de Gouvernement le 10 décembre 2018.
DGIE