La 3e édition de l’Africa CyberSecurity Conference (ACSC 2018), a pris fin ce vendredi 26 octobre à Abidjan. « La banque du futur : « Comment le Fin Tech est en train de redéfinir l’industrie bancaire ? Quels sont ses impacts en Afrique ? » , les participants on tenté de répondre à ces différentes questions.
Il a été question de jauger l’impact que pourrait avoir l’intégration effective de cette nouvelle norme dans les systèmes de fonctionnement des banques africaines. Poursuivant, les différents experts ont soutenu la pertinence du FIN TECH qu’ils énoncent comme « une nécessité en Afrique » pour la reconfiguration du contexte d’opération incertain qui prévaut actuellement. Selon eux, plusieurs failles ont été enregistrées à partir d’un système de fonctionnement qualifié de « traditionnel, classique et linéaire » que les opérateurs économiques exécutent dans leurs firmes. Ils ont notamment mentionné le fait qu’une partie des populations soit restée en marge de l’évolution du cadre transactionnel à cause du mode de fonctionnement complexe et donc inaccessible à certaines classes sociales, comme les non-alphabétisés. Ainsi, le FIN TECH a été présenté comme la réponse à ces failles, car intégrant une nouvelle donne, simplifiée et englobant les incubateurs analytiques efficaces. Il facilite la création « d’un cadre de collaboration étroit entre les populations et les banques avec des solutions simples et rapides », d’après Diaby Ismaël, Directeur de VISA.« L’évolution de l’Afrique doit passer par un changement de mentalité, surtout des jeunes, qui sont les piliers du développement. Les banquiers doivent sortir de leur zone de confort pour un agir flexible et efficace. Les FIN TECHS doivent être une source d’inspiration pour eux afin de conduire le continent au centre d’un système d’opération plus évolutif », a déclaré le directeur d’Orange Business Serges kouakou. « Le milieu de l’entrepreneuriat s’allie donc à une tendance évolutive des actions », a –t-il conclu.
DA
Il a été question de jauger l’impact que pourrait avoir l’intégration effective de cette nouvelle norme dans les systèmes de fonctionnement des banques africaines. Poursuivant, les différents experts ont soutenu la pertinence du FIN TECH qu’ils énoncent comme « une nécessité en Afrique » pour la reconfiguration du contexte d’opération incertain qui prévaut actuellement. Selon eux, plusieurs failles ont été enregistrées à partir d’un système de fonctionnement qualifié de « traditionnel, classique et linéaire » que les opérateurs économiques exécutent dans leurs firmes. Ils ont notamment mentionné le fait qu’une partie des populations soit restée en marge de l’évolution du cadre transactionnel à cause du mode de fonctionnement complexe et donc inaccessible à certaines classes sociales, comme les non-alphabétisés. Ainsi, le FIN TECH a été présenté comme la réponse à ces failles, car intégrant une nouvelle donne, simplifiée et englobant les incubateurs analytiques efficaces. Il facilite la création « d’un cadre de collaboration étroit entre les populations et les banques avec des solutions simples et rapides », d’après Diaby Ismaël, Directeur de VISA.« L’évolution de l’Afrique doit passer par un changement de mentalité, surtout des jeunes, qui sont les piliers du développement. Les banquiers doivent sortir de leur zone de confort pour un agir flexible et efficace. Les FIN TECHS doivent être une source d’inspiration pour eux afin de conduire le continent au centre d’un système d’opération plus évolutif », a déclaré le directeur d’Orange Business Serges kouakou. « Le milieu de l’entrepreneuriat s’allie donc à une tendance évolutive des actions », a –t-il conclu.
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