Abidjan– La 10ème édition du Festival Ciné droit libre s’est achevée samedi, au Goethe Institut d’Abidjan-Cocody, par la projection de deux films et un concert du parolier Alain Tailly, qui a ébloui le public par un déferlement de mots.
Avant le spectacle d’Alain Tailly, la soirée avait enregistré la projection de « Burkinabè Bounty » de Lara LEE, une chronique de la résistance agricole et de la lutte pour la souveraineté alimentaire du Burkina Faso et « La maladie du démon » de Lilith Kugler, une peinture de la stigmatisation des personnes souffrant de déficience mentale et d’épilepsie.
Festival de films sur les droits de l’homme et la liberté d’expression, l’édition 2018 s’est tenue du 14 au 17 novembre autour du thème « Justice ! Levez-vous » avec une dizaine de films, essentiellement des documentaires engagés sur les questions des droits humains, projetés au Goethe-Institut, à l’Institut Français, à l’Espace Balafon (Cocody Attoban), dans des établissements scolaires, et sur des places publiques au cœur des quartiers défavorisés de Yopougon, Treichville et Port-Bouët, dans le village d’Agbabou.
Le coordinateur du festival, Yacouba Sangaré, président de « Ciné connexion » s’est réjoui du succès de cette édition. « L’accès à la justice est une problématique après cinq décennies d’indépendance en Afrique. Au-delà des projections, nous avons suscité des débats francs et sans passions sur le sujet afin de toucher du doigt les maux qui minent notre justice », a-t-il dit.
aaa/ask
Avant le spectacle d’Alain Tailly, la soirée avait enregistré la projection de « Burkinabè Bounty » de Lara LEE, une chronique de la résistance agricole et de la lutte pour la souveraineté alimentaire du Burkina Faso et « La maladie du démon » de Lilith Kugler, une peinture de la stigmatisation des personnes souffrant de déficience mentale et d’épilepsie.
Festival de films sur les droits de l’homme et la liberté d’expression, l’édition 2018 s’est tenue du 14 au 17 novembre autour du thème « Justice ! Levez-vous » avec une dizaine de films, essentiellement des documentaires engagés sur les questions des droits humains, projetés au Goethe-Institut, à l’Institut Français, à l’Espace Balafon (Cocody Attoban), dans des établissements scolaires, et sur des places publiques au cœur des quartiers défavorisés de Yopougon, Treichville et Port-Bouët, dans le village d’Agbabou.
Le coordinateur du festival, Yacouba Sangaré, président de « Ciné connexion » s’est réjoui du succès de cette édition. « L’accès à la justice est une problématique après cinq décennies d’indépendance en Afrique. Au-delà des projections, nous avons suscité des débats francs et sans passions sur le sujet afin de toucher du doigt les maux qui minent notre justice », a-t-il dit.
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