Le Centre africain d’études supérieures en gestion (CESAG), basé à Dakar, au Sénégal, va délocaliser ses activités dès janvier 2019 à Abidjan, a annoncé, vendredi, Yaya Sissoko, conseiller du directeur national de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) en Côte d’Ivoire.
Lors d’une conférence de presse organisée au CRRAE-UMOA, au Plateau, le représentant du directeur national de la BCEAO a salué la décision du Conseil d’administration du CESAG pour cette décision de délocalisation, somme toute partielle.
Notant que la délocalisation va soulager les étudiants ivoiriens de certaines charges, M. Sissoko a souhaité que le processus aille jusqu’au bout. En effet, Abidjan étant une phase pilote, le projet devrait aboutir à l’extension des activités aux autres pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
Le directeur général du CESAG, Balibé Serge Auguste Bayala, s'est pour sa part appesanti sur l’évolution, la vision et le sens de la présence de l’établissement à Abidjan. Cette délocalisation vise, entre autres, à renforcer la dynamique de l’outil d’intégration par la formation et la recherche endogènes.
Le CESAG va offrir à la fois une formation qualifiante et diplômante, à travers un modèle de partenariat avec des structures d’appui (ENSEA, CAMPC…). Il propose des cycles courts, des « formations précises, sur demandes précises », selon M. Bayala.
La structure fournira une variété de formations, à des prix très étudiés, promet le DG. Il assure que tous les besoins de renforcement des capacités aussi bien de l’Administration publique que privée seront couverts par les offres de formation du CESAG.
Fondée en 1982, l'Ecole supérieure de gestion des entreprises (ESGE) pour le Sénégal est devenue Centre africain d’études supérieures en gestion en 1985, par la volonté des chefs d’Etats de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEAO). Après la dissolution de la CEAO, le CESAG a été repris en 1995 par la BCEAO, pour le compte des huit pays membres de l’UEMOA.
cmas
Lors d’une conférence de presse organisée au CRRAE-UMOA, au Plateau, le représentant du directeur national de la BCEAO a salué la décision du Conseil d’administration du CESAG pour cette décision de délocalisation, somme toute partielle.
Notant que la délocalisation va soulager les étudiants ivoiriens de certaines charges, M. Sissoko a souhaité que le processus aille jusqu’au bout. En effet, Abidjan étant une phase pilote, le projet devrait aboutir à l’extension des activités aux autres pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
Le directeur général du CESAG, Balibé Serge Auguste Bayala, s'est pour sa part appesanti sur l’évolution, la vision et le sens de la présence de l’établissement à Abidjan. Cette délocalisation vise, entre autres, à renforcer la dynamique de l’outil d’intégration par la formation et la recherche endogènes.
Le CESAG va offrir à la fois une formation qualifiante et diplômante, à travers un modèle de partenariat avec des structures d’appui (ENSEA, CAMPC…). Il propose des cycles courts, des « formations précises, sur demandes précises », selon M. Bayala.
La structure fournira une variété de formations, à des prix très étudiés, promet le DG. Il assure que tous les besoins de renforcement des capacités aussi bien de l’Administration publique que privée seront couverts par les offres de formation du CESAG.
Fondée en 1982, l'Ecole supérieure de gestion des entreprises (ESGE) pour le Sénégal est devenue Centre africain d’études supérieures en gestion en 1985, par la volonté des chefs d’Etats de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEAO). Après la dissolution de la CEAO, le CESAG a été repris en 1995 par la BCEAO, pour le compte des huit pays membres de l’UEMOA.
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