Man- Le festival Nihidaley des arts et culture du Tonkpi est une plateforme de valorisation des masques qui prestent chaque jour en dansant, accompagnés des sonorités du territoire Dan (autochtones), a constaté l’AIP à Man.
«Le masque qui danse est le masque élégant. On le voit pendant les fêtes d’igname en pays Toura. Moi je précède les masque avant qu'ils ne sortent . Et ces masques peuvent également sortir lors de certaines festivités comme le Nihidaley », a expliqué mercredi, l’accompagnateur de masques, Tia Tiémoko.
Il a souligné également la présence d’un autre masque « qui fait des grimaces et aime les enfants » et dont le rôle est de protéger ses amis masques en cas de trouble.
«Le masque en pays Toura est une religion qu’on adore. Si tu veux quelque chose d’heureux, ces masques qu’on voit danser viennent chez toi pour attirer le bonheur», a ajouté Tia lors de ce festival qui prend fin le 10 décembre. Il a été ouvert samedi
amak/ask
«Le masque qui danse est le masque élégant. On le voit pendant les fêtes d’igname en pays Toura. Moi je précède les masque avant qu'ils ne sortent . Et ces masques peuvent également sortir lors de certaines festivités comme le Nihidaley », a expliqué mercredi, l’accompagnateur de masques, Tia Tiémoko.
Il a souligné également la présence d’un autre masque « qui fait des grimaces et aime les enfants » et dont le rôle est de protéger ses amis masques en cas de trouble.
«Le masque en pays Toura est une religion qu’on adore. Si tu veux quelque chose d’heureux, ces masques qu’on voit danser viennent chez toi pour attirer le bonheur», a ajouté Tia lors de ce festival qui prend fin le 10 décembre. Il a été ouvert samedi
amak/ask