Gagnoa)- La troisième édition du Djadjoh carnaval, fête de réjouissance en langue locale Bété, s’est ouvert jeudi en nocturne à la place Laurent Gbagbo de Gagnoa, à 280 km d’Abidjan.
« C’est satisfaisant, car chaque année, nous arrivons à faire un peu plus », s’est réjoui Séry Didier, commissaire général du Djadjoh carnaval et président de l’association Gagnoa-culture, en charge de l’organisation de l’événement sur le thème "culture, cohésion sociale et développement".
Le Djadjoh est aussi une rencontre festive qui en plus d’être comme les autres carnavals, est un tremplin d’exposition des cultures des peuples vivant sur le périmètre de la région du Goh.
Il vise la promotion de la culture Bété (peuple autochtone de Gagnoa), la valorisation du patrimoine à travers la danse, le chant, la musique, les rites et rituels durant trois jours. Il est tout de même confronté à des difficultés de fonctionnement et d’organisation, dues notamment aux contraintes de mise en œuvre du budget de 79 millions FCFA.
Un carnaval est un prétexte pour présenter les valeurs d’une culture et ouvrir la communauté Bété notamment, sur le monde, afin de mieux la faire apprécier, a expliqué le directeur régional de la Culture et de la Francophonie du Goh, Aimé About Assamoua.
« Relevons que pour l’année 2018, le Djadjoh a eu lieu, contrairement à d’autres carnavals », a-t-il dit.
L’édition 2018 prend fin samedi par un défilé géant, en tenue déguisée, masquée ou non, pour danser, chanter, manger, faire de la musique autour d’une parade sur un kilomètre à travers les rues de Gagnoa.
dd/ask
« C’est satisfaisant, car chaque année, nous arrivons à faire un peu plus », s’est réjoui Séry Didier, commissaire général du Djadjoh carnaval et président de l’association Gagnoa-culture, en charge de l’organisation de l’événement sur le thème "culture, cohésion sociale et développement".
Le Djadjoh est aussi une rencontre festive qui en plus d’être comme les autres carnavals, est un tremplin d’exposition des cultures des peuples vivant sur le périmètre de la région du Goh.
Il vise la promotion de la culture Bété (peuple autochtone de Gagnoa), la valorisation du patrimoine à travers la danse, le chant, la musique, les rites et rituels durant trois jours. Il est tout de même confronté à des difficultés de fonctionnement et d’organisation, dues notamment aux contraintes de mise en œuvre du budget de 79 millions FCFA.
Un carnaval est un prétexte pour présenter les valeurs d’une culture et ouvrir la communauté Bété notamment, sur le monde, afin de mieux la faire apprécier, a expliqué le directeur régional de la Culture et de la Francophonie du Goh, Aimé About Assamoua.
« Relevons que pour l’année 2018, le Djadjoh a eu lieu, contrairement à d’autres carnavals », a-t-il dit.
L’édition 2018 prend fin samedi par un défilé géant, en tenue déguisée, masquée ou non, pour danser, chanter, manger, faire de la musique autour d’une parade sur un kilomètre à travers les rues de Gagnoa.
dd/ask