Fanfare. Tapis rouge de circonstance. Apparats des grands jours. La Présidente de la CNDHCI, Namizata Sangaré n’a pas fait dans la dentelle pour un évènement que les défenseurs des droits de l’Homme attendaient depuis de longue date.
La Secrétaire d’Etat chargée des Droits de l’Homme, Aimée Zegbeyoux a inauguré le 10 décembre 2018, le nouveau siège de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire, sis à Cocody II- plateaux vallons, devenue Conseil National des Droits de l’Homme après le vote par l’Assemblée Nationale, le 28 novembre dernier, de la nouvelle loi habilitante de cette institution.
Au cours d’une cérémonie qui a réuni diplomates, représentants des agences du système des Nations Unies et organisations de défense des droits de l’homme, elle a coupé le ruban symbolique, inaugurant du coup ce nouveau siège, avec à ses côtés la Présidente de la CNDHCI Namizata Sangaré. Ce bâtiment flambant neuf comprend : 51 bureaux ; une cafétéria ; une salle de documentation ; deux salles de réunion ; un amphithéâtre et un parking interne pouvant abriter 18 véhicules.
Dans le souci de se conformer aux exigences internationales faites aux institutions nationales des droits de l’Homme et d’asseoir sa crédibilité tant au plan national qu’international, la Commission a entrepris de mener une réforme approfondie de son cadre institutionnel, structurel et budgétaire. Cela s’est traduit, entre autres, a rappelé Namizata Sangaré, par la volonté des autorités gouvernementales de: doter la CNDHCI d’un nouveau cadre institutionnel. En effet, depuis le 28 novembre 2018, l’Assemblée Nationale a voté une nouvelle loi qui conforme désormais notre institution entièrement aux Principes de Paris. construire un siège dont l’inauguration coïncide, hasard du calendrier, avec la journée des Droits de l’Homme.
Elle a salué l’implication personnelle du Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly, sans qui « ce projet n’aurait jamais vu le jour. »
« Dans la mise en œuvre de notre mandat de promotion et de protection, il nous est apparu nécessaire de créer les conditions idéales de la proximité avec les populations et de l’accessibilité à nos services, qui puissent répondre à leurs attentes et aux intérêts des différents acteurs sociaux et économiques. Cette Maison des Droits de l’Homme vise à rapprocher les populations de l’organisme étatique de défense des droits de l’homme et à assurer à ses services, un fonctionnement adéquat et optimal. », a affirmé Namizata Sangaré.
La première responsable de la CNDHCI a exprimé sa fierté « de voir enfin concrétiser le projet que nous avions, de donner à la CNDHCI, à la Côte d’Ivoire, un siège digne de ce nom, à la dimension de la vision du Chef de l’Etat et de sa passion pour notre pays. »
Cette rencontre a été couplée avec la remise symbolique des rapports 2016 et 2017 au Chef du Gouvernement, Amadou Gon Coulibaly, rapports remis à Madame la Secrétaire d’Etat, chargée des Droits de l’Homme.
Ensuite, Aimé Zegbeyoux a remis, toujours au nom du Premier Ministre, le Prix 2018 des Droits de l’Homme à la Convention Ivoirienne de la Société Civile, lauréat du Prix pour son projet Loujna-Tounkoranké, sur la protection des droits des migrants. En effet, le thème choisi pour cette troisième édition porte sur la protection des droits des migrants et des réfugiés. En l’absence du Président du Jury empêché, l’honneur est revenu à la vice- présidente, Mawa Coulibaly épouse Bailly d’annoncer les résultats. Elle a expliqué à l’assistance que cette organisation non gouvernementale a présenté un « projet concret » avec tout aussi des « résultats concrets ». Elle a expliqué que faute de candidatures concernant la protection des réfugiés, le jury a décidé de récompenser un seul lauréat (protection des migrants), au lieu de deux (migrants et réfugiés).
A cette inauguration étaient présents parmi les personnalités, le Représentant résident du Haut-commissariat aux Réfugiés, Mohamed Askia Touré, représentant le Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies, le Représentant de l’Union Européenne.
La Secrétaire d’Etat chargée des Droits de l’Homme, Aimée Zegbeyoux a inauguré le 10 décembre 2018, le nouveau siège de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire, sis à Cocody II- plateaux vallons, devenue Conseil National des Droits de l’Homme après le vote par l’Assemblée Nationale, le 28 novembre dernier, de la nouvelle loi habilitante de cette institution.
Au cours d’une cérémonie qui a réuni diplomates, représentants des agences du système des Nations Unies et organisations de défense des droits de l’homme, elle a coupé le ruban symbolique, inaugurant du coup ce nouveau siège, avec à ses côtés la Présidente de la CNDHCI Namizata Sangaré. Ce bâtiment flambant neuf comprend : 51 bureaux ; une cafétéria ; une salle de documentation ; deux salles de réunion ; un amphithéâtre et un parking interne pouvant abriter 18 véhicules.
Dans le souci de se conformer aux exigences internationales faites aux institutions nationales des droits de l’Homme et d’asseoir sa crédibilité tant au plan national qu’international, la Commission a entrepris de mener une réforme approfondie de son cadre institutionnel, structurel et budgétaire. Cela s’est traduit, entre autres, a rappelé Namizata Sangaré, par la volonté des autorités gouvernementales de: doter la CNDHCI d’un nouveau cadre institutionnel. En effet, depuis le 28 novembre 2018, l’Assemblée Nationale a voté une nouvelle loi qui conforme désormais notre institution entièrement aux Principes de Paris. construire un siège dont l’inauguration coïncide, hasard du calendrier, avec la journée des Droits de l’Homme.
Elle a salué l’implication personnelle du Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly, sans qui « ce projet n’aurait jamais vu le jour. »
« Dans la mise en œuvre de notre mandat de promotion et de protection, il nous est apparu nécessaire de créer les conditions idéales de la proximité avec les populations et de l’accessibilité à nos services, qui puissent répondre à leurs attentes et aux intérêts des différents acteurs sociaux et économiques. Cette Maison des Droits de l’Homme vise à rapprocher les populations de l’organisme étatique de défense des droits de l’homme et à assurer à ses services, un fonctionnement adéquat et optimal. », a affirmé Namizata Sangaré.
La première responsable de la CNDHCI a exprimé sa fierté « de voir enfin concrétiser le projet que nous avions, de donner à la CNDHCI, à la Côte d’Ivoire, un siège digne de ce nom, à la dimension de la vision du Chef de l’Etat et de sa passion pour notre pays. »
Cette rencontre a été couplée avec la remise symbolique des rapports 2016 et 2017 au Chef du Gouvernement, Amadou Gon Coulibaly, rapports remis à Madame la Secrétaire d’Etat, chargée des Droits de l’Homme.
Ensuite, Aimé Zegbeyoux a remis, toujours au nom du Premier Ministre, le Prix 2018 des Droits de l’Homme à la Convention Ivoirienne de la Société Civile, lauréat du Prix pour son projet Loujna-Tounkoranké, sur la protection des droits des migrants. En effet, le thème choisi pour cette troisième édition porte sur la protection des droits des migrants et des réfugiés. En l’absence du Président du Jury empêché, l’honneur est revenu à la vice- présidente, Mawa Coulibaly épouse Bailly d’annoncer les résultats. Elle a expliqué à l’assistance que cette organisation non gouvernementale a présenté un « projet concret » avec tout aussi des « résultats concrets ». Elle a expliqué que faute de candidatures concernant la protection des réfugiés, le jury a décidé de récompenser un seul lauréat (protection des migrants), au lieu de deux (migrants et réfugiés).
A cette inauguration étaient présents parmi les personnalités, le Représentant résident du Haut-commissariat aux Réfugiés, Mohamed Askia Touré, représentant le Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies, le Représentant de l’Union Européenne.