La finale du concours « Les doigts d’or » initié par le Syndicat National des Professionnels de la Coiffure de Côte d’Ivoire (SYNAPROCCI) s’est tenue ce lundi 10 décembre 2018 à l’hôtel communal de Cocody, sous le thème « non à l’immigration ».
De plus en plus, le phénomène de l’immigration bat son plein dans le milieu de la jeunesse ivoirienne. Dans le but de stopper ce phénomène, un concours dénommé « les doigts d’or » a été organisé par la SYNAPROCCI pour présenter à cette jeunesse les talents qui se trouvent en Côte d’Ivoire.
« Notre pays la Côte d’Ivoire doit relever les défis du 21e siècle qui sont le développement économique et social, l’emploi et le développement durable » a mentionné Serge Sambrin, président de la SYNAPROCCI dans son mot de bienvenue. « Nous ne pouvons atteindre ce développement dira le président sans une prise de conscience collective. »
Selon lui, l’espoir de la coiffure et de l’esthétique résulte d’abord de l’organisation et l’entente entre tous les acteurs par la création d’une union dynamique et surtout de la vision du président de la République dont le projet à l’émergence nécessite des acteurs de qualité.
« Le concours des doigts d’or est une initiative qui vise à détecter les jeunes talents et à promouvoir l’entrepreneuriat par une prise de conscience générale » a indiqué M. Sambrin.
Ce concours été initié aussi dans le cadre d’interpeller l’Etat à s’impliquer davantage dans le domaine de l’artisanat afin de réduire la pauvreté chez nos jeunes qui cherchent à immigrer.
Prenant la parole au nom du ministre Sidiki Konaté, M. Ekissi Narcisse directeur de cabinet, a transmis tous ses encouragements à ces jeunes pour cette belle initiative qui vise à valoriser l’artisanat. « L’artisanat joue un rôle très important car il est créateur d’emplois, de richesse et contribue aussi au développement du pays » s’est –il exprimé.
« Au-delà des organisations promotionnelles, il faudrait que les organisations se comprennent, s’organisent pour permettre que la jeunesse qui quitte son pays pour aller chercher un nouvel eldorado puisse être employée ici à partir des métiers qui valorisent le monde de l’artisanat » a souhaité le directeur de cabinet.
Ils étaient en tout 35 candidats à accéder à la phase finale. En rapport avec le thème « non à l’immigration », ces jeunes coiffeurs et coiffeuses ont transmis leurs messages à travers leurs talents.
Atapointe
De plus en plus, le phénomène de l’immigration bat son plein dans le milieu de la jeunesse ivoirienne. Dans le but de stopper ce phénomène, un concours dénommé « les doigts d’or » a été organisé par la SYNAPROCCI pour présenter à cette jeunesse les talents qui se trouvent en Côte d’Ivoire.
« Notre pays la Côte d’Ivoire doit relever les défis du 21e siècle qui sont le développement économique et social, l’emploi et le développement durable » a mentionné Serge Sambrin, président de la SYNAPROCCI dans son mot de bienvenue. « Nous ne pouvons atteindre ce développement dira le président sans une prise de conscience collective. »
Selon lui, l’espoir de la coiffure et de l’esthétique résulte d’abord de l’organisation et l’entente entre tous les acteurs par la création d’une union dynamique et surtout de la vision du président de la République dont le projet à l’émergence nécessite des acteurs de qualité.
« Le concours des doigts d’or est une initiative qui vise à détecter les jeunes talents et à promouvoir l’entrepreneuriat par une prise de conscience générale » a indiqué M. Sambrin.
Ce concours été initié aussi dans le cadre d’interpeller l’Etat à s’impliquer davantage dans le domaine de l’artisanat afin de réduire la pauvreté chez nos jeunes qui cherchent à immigrer.
Prenant la parole au nom du ministre Sidiki Konaté, M. Ekissi Narcisse directeur de cabinet, a transmis tous ses encouragements à ces jeunes pour cette belle initiative qui vise à valoriser l’artisanat. « L’artisanat joue un rôle très important car il est créateur d’emplois, de richesse et contribue aussi au développement du pays » s’est –il exprimé.
« Au-delà des organisations promotionnelles, il faudrait que les organisations se comprennent, s’organisent pour permettre que la jeunesse qui quitte son pays pour aller chercher un nouvel eldorado puisse être employée ici à partir des métiers qui valorisent le monde de l’artisanat » a souhaité le directeur de cabinet.
Ils étaient en tout 35 candidats à accéder à la phase finale. En rapport avec le thème « non à l’immigration », ces jeunes coiffeurs et coiffeuses ont transmis leurs messages à travers leurs talents.
Atapointe